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CLASH ! L'autre Jeu d'Histoire
Liste AI 31 - Armée d'Afrique
Le roi de France, Charles X, et le
président du Conseil, le prince de Polignac, prennent la décision d'entreprendre une expédition
militaire dans le Nord de l'Afrique au printemps 1830, au plus tard le 11 avril, date de l'ordonnance nommant le
comte de Bourmont commandant en chef du corps expéditionnaire. Les historiens continuent à débattre
apremment si cette décision relève de raisons tenant plus à la politique intérieure
du royaume de France qu'à la dégradation de ses relations avec la régence d'Alger. Le gouvernement
français avait attendu trois ans après le « coup d'éventail » de 1827 (raison
affichée de la conquête). Pour certains, le gouvernement ultra du prince de Polignac espérait
non seulement revivre les conquêtes militaires de Napoléon et consolider l’influence française
dans le bassin occidental de la Méditerranée, mais aussi juguler l'opposition intérieure pour
renouer avec le prestige monarchique dont rêvait Charles X.
Un blocus maritime est mis en place. L'invasion est conseillée par Polignac, afin de sauver la situation
intérieure française. Charles X avoue vouloir retrouver l'esprit des victoires de Cortès[réf.
nécessaire] avec l'espoir de conquérir l'Afrique.
L'expédition débute le 14 juin, date à laquelle le corps expéditionnaire français
débarque sur la presqu'île de Sidi-Ferruch. Elle prend fin 21 jours plus tard, le 5 juillet, date
à laquelle, après plusieurs batailles, le dey d'Alger, Hussein, signe à El Biar un acte de
reddition, la capitulation d'Alger. Puis les troupes françaises entrent dans la ville le 9 juillet : Alger
est prise. Elle constitue le premier épisode de la conquête de l'Algérie par la France.
Au début, la France en Algérie s'en tint à une « occupation restreinte » mais
ces zones étaient sans cesse harcelées par les tribus, soutenues par les princes de l'intérieur,
ce qui amena à des expéditions vers Tlemcen ou Constantine. On passa même le trompeur traité
de la Tafna avec « l'émir » Abd-el-Kader, très contesté par les grands chefs musulmans.
Mais la poursuite des affrontements amena à une politique plus agressive, hors de la zone officiellement
reconnue à Abd-el-Kader mais celui-ci revendiquait tout le Maghreb. Le 13 octobre 1837, le général
Valée et le duc de Nemours prennent la ville de Constantine. En octobre 1839, le duc d'Orléans réussit
à passer de Constantine à Alger par le défilé des Bibans dit des Portes de Fer. Alors
Abd-el-Kader tomba le masque et se lança dans le jihâd et la guérilla. Le général
Bugeaud, successeur de Valée, prit l'offensive. En mai 1841, il frappa au cœur de l'émirat
en prenant Mascara. Le 16 mai 1843, le duc d'Aumale et le général Youssouf s'emparèrent de
la Smala. Le 11 novembre 1843, l'émir perdait ses dernières troupes et trouvait asile auprès
de son beau-père, le sultan du Maroc Abd al-Rahmn qui entra en guerre pour annexer Tlemcen et Oran. L'escadre
du prince de Joinville bombarda Tanger et s'empara de Mogador, tandis que le général Bugeaud remportait
la victoire d'Isly (14 août 1844). Le traité de Tanger, conclu le 10 septembre 1844, fermait le territoire
marocain à l'émir. Abd el-Kader allait poursuivre la guérilla pendant trois ans, avant de
se rendre au général Lamoricière le 23 décembre 1847 à Sidi-Brahim.
|
Les troupes particulières de l'Armée d'Afrique
Zouaves
Le « zouave » vient de l'arabe algérien
Zwawa ou Zouaouas, désignant une confédération de tribus kabyles du nord du Djurdjura, qui
fournissaient des soldats aux Ottomans de la régence d'Alger. Le 15 août 1830, le Comte de Bourmont
recrute 500 zouaves à partir de l'Armée Ottomane. Sommé de renvoyer un maximum de troupes
en métropole au plus vite, son successeur, le général Clauzel, décide d'augmenter le
recrutement local. Il crée le 1er octobre 1830 deux bataillons de Zouaves formant corps, de 8 compagnies
de 100 hommes.
Au début, la troupe et une partie des gradés devaient être indigènes tandis que l'état-major
du bataillon, les capitaines, les lieutenants, les sergents-majors, les fourriers, et la moitié des sergents
et des caporaux devaient être Français. Parmi les premiers capitaines, on trouve Duvivier et de La
Moricière. 46% des premiers engagés ayant déserté en 15 mois, le commandement, qui
voulait conserver les deux bataillons, fut obligé d'y introduire un plus grand nombre de Français.
Le 7 mars 1833, on doit réduire les Zouaves à un bataillon de dix compagnies, dont 2 compagnies entièrement
françaises. La proportion d'indigènes baissa régulièrement mais, dès 1835, un
deuxième bataillon est levé. Le 3e bataillon créé à Tlemcen le 10 mars 1837
ne comptait que six Arabes à son effectif.
Suite aux menaces d'Abd-el-Kader, le recrutement indigène se tarit brusquement et ce troisième
bataillon fut dissout le 21 décembre 1838. Lorsque le 8 septembre 1841, le corps des Zouaves devint le « régiment
de Zouaves, employé en Algérie, autorisé à recevoir des indigènes »,
il restait à peine assez d'indigènes pour former les huitièmes compagnies de chaque bataillon.
On incorpora des volontaires européens de toutes origines, rapidement fondus dans le moule. Ces soldats
européens se distinguaient nettement des soldats qui servaient dans l'infanterie par leur lien au service,
par leur origine géographique et par leur instruction ce qui, avec la qualité de leurs officiers
et la tenue orientale, contribuèrent à créer un esprit de corps très vivant.
Les Zouaves étaient devenus très célèbres depuis la prise de Constantine. Le premier
régiment est placé sous le commandement du colonel de La Moricière. Ils s'illustrent encore
à la bataille de l'Ouarsenis (1842), à celle d'Isly (1844), et prennent Zaatcha en 1849. Le 13 février
1852, Louis-Napoléon signe un décret portant à trois le nombre de régiments de zouaves,
chacun des trois bataillons existants formant le noyau des nouveaux régiments ainsi créés.
Tirailleurs algériens
(Turcos)
Un premier bataillon de Tirailleurs Indigènes est créé
en 1838 à Oran avec des koulouglis. Il ouvre la voie à trois bataillons de Tirailleurs Indigènes,
créés le 7 décembre 1841 pour accueillir les indigènes au moment où les Zouaves
deviennent un corps à recrutement exclusivement français. Au début les bataillons sont indépendants
et participent à la plupart des opérations de conquête et de pacification en Algérie
notamment à Constantine et Laghouat. En 1856, trois régiments à trois bataillons de six compagnies
sont créés, un dans chaque département d'Algérie.
Légion étrangère
La Légion étrangère est créée
par ordonnance du 9 mars 1831 par le roi des Français Louis-Philippe, à l'instigation du maréchal
Soult, ministre de la Guerre. Cette troupe est destinée à combattre seulement en dehors du territoire
continental du Royaume. Elle rassemble au début des soldats venant de différents corps étrangers
supprimés, les gardes suisses, , le régiment suisse de la garde royale et le régiment Hohenlohe
issu du 2e régiment étranger des armées napoléoniennes.
Au début, la Légion comprend 7 bataillons répartis par les langues : le 1er (suisse)
avec les anciens des gardes suisses et du régiment Hohenlohe, 2e et 3e (Suisses et Allemands), 4e (Espagnols
et Portugais), 5e (Sardes et Italiens), 6e (Belges et Hollandais) et 7e (Polonais). En 1834, les Espagnols du 4e
bataillon sont démobilisés et autorisés à rentrer dans leur pays, en proie à
la guerre civile. Louis-Philippe cède à l'Espagne le 28 juin 1835 cette première Légion
étrangère qui devient officiellement une partie de l'armée espagnole. Le 16 décembre
1839, Louis-Philippe décide de la création d'une nouvelle Légion afin de renforcer les troupes
françaises en Algérie. Trois bataillons sont alors créés puis deux autres en 1840 avec
les survivants de l'aventure espagnole. Ces 5 bataillons forment alors 2 régiments étrangers.
En 1832, la Légion est employée à l'assèchement des marais dans la région
d'Alger. Les 1er et 3e bataillons s'emparent d'une redoute à Maison-Carrée pour sécuriser
la zone. Le 7e bataillon prend alors le numéro 4. En 1849, le 1er bataillon participe activement au siège
et à la prise de Zaatcha.
Bataillons d'infanterie légère
d'Afrique
L'infanterie légère d'Afrique est créée
en juin 1832 pour reprendre dans l'Armée les militaires condamnés ayant purgé leur peine et
les « fortes têtes ». Elle n'est donc pas une formation disciplinaire mais une formation
d'épreuve.A partir de 1836, ces unités accueillent également des conscrits frappés
par une condamnation de droit commun, ou connus pour leurs activités illégales.
Les Bataillons d'infanterie légère d'Afrique (BILA) forment corps. Les 2 premiers BILA sont créés
le 3 juin 1832, le 3ème le 20 juin 1833. Le 1er Bataillon participe en février 1840 à la défense
de la redoute de Mazagran, assiégée par les troupes de Ben Thami, et le 24 juillet 1843 à
la bataille de l'Oued el Hammam. Le 3ème bataillon participe aux opérations de la Tafna, puis au
second siège de Constantine (1837), à la bataille de Zaatcha le 26 novembre 1849 et à celle
de Laghouat, le 4 décembre 1852.
Chasseurs d'Afrique
Le 17 novembre 1831 furent créés deux régiments
de chasseurs d'Afrique à partir des trois escadrons de chasseurs à cheval débarqués
en 1830 et de volontaires provenant de la cavalerie métropolitaine. Au début, ils reçurent
aussi des volontaires indigènes notamment des chasseurs algériens mais rapidement ils ne comptèrent
plus que des européens. Le 3ème régiment fut créé en 1832 et le 4ème
en 1839.
Spahis
Les spahis, du turc « sipâhi »
signifiant « soldat-cavalier », étaient les cavaliers féodaux de l'Empire Ottoman,
qui au début servaient en échange d'un fief. Pour la Régence, c'étaient un corps de
cavalerie régulier sur le modèle ottoman, des cavaliers fournis par les tribus. A la conquète
française, ils postulent pour servir sous la conduite d'un aventurier italo-corse ancien esclave à
Tunis, Joseph Vantini dit Youssouf, qui finira général français. Corps de cavaliers indigènes,
il ne manquera jamais de volontaires.
En 1831, des escadrons de « chasseurs-spahis » ou spahis irréguliers sont adjoints
à chaque régiment de chasseur d'Afrique. Le 10 septembre 1834 sont créés 4 escadrons
de spahis réguliers, devenus 14 escadrons l'année suivante. Le 7 décembre 1841 ils forment
un unique corps de cavaliers indigènes. L'ordonnance du 2 juillet 1845 crée trois régiments
de spahis : le 1er régiment de spahis algériens à Alger, le 2ème à Oran,
et le 3ème à Bône/Constantine. Leur premier chef est le « colonel-agha »
Guillaume-Stanislas Marey-Monge. Leurs principaux faits d'armes sont les 2 expéditions de Constantine en
1836 et en 1837, celle des Portes de Fer en 1839, la prise de la smala d'Abd el-Kader en 1843, la bataille d'Isly
en 1844, les Aurès en 1846, la prise de Zaatcha en 1849 et celle de Laghouat en 1852 et ainsi de suite.
Zouaves à cheval
Trois escadrons de zouaves à cheval sont formés fin
1830 mais intégrés dès 1831 aux chasseurs d'Afrique.
Compagnies auxiliaires des « volontaires parisiens »
Après le succès de la Révolution de juillet,
le gouvernement avait envoyé en Afrique des manifestants qui s'étaient spontanément regroupés
en groupes pseudo militaires qu'on désignait sous le nom de « Volontaires parisiens ».
A Alger, ces hommes furent incorporés dans des compagnies auxiliaires. Sans autre passé militaire
que leur participation aux journées de juillet, une partie se retrouvèrent incorporés dans
les Zouaves et le reste formèrent le 67e régiment d'infanterie.
Bataillon de Tirailleurs d'Afrique
Le bataillon de Tirailleurs d'Afrique a été formé
à Pau en 1836 avec des Français volontaires pour servir dans la Légion étrangère
en Espagne que le gouvernement français avait renoncé à y envoyer. Il fut incorporé
dans les Zouaves le 8 septembre 1841, quand le corps des Zouaves devint le « régiment de Zouaves ».
Chasseurs algériens
Cette unité de cavalerie indigène fut formée
en octobre 1830 par le chef d'escadron Marey-Monge. Le 17 novembre 1831 elle fut incorporée dans les régiments
de chasseurs d'Afrique créés le même jour.
Compagnies méharistes
Des expérimentations d'unité mobiles montées
sur dromadaires furent expérimentées entre 1843 et 1848 mais les nécessités opérationnelles
ne furent pas pérennisées alors.
Compagnies de « Turcs auxiliaires »
Ces compagnies ont été créées à
Oran, Mostaganem, Bône et Constantine par les beys ralliés après avoir été vaincus.
Composées surtout de koulouglis (fils de turcs et d'indigènes), elles combattent à la turque.
Elles disparaissent peu à peu, incluses dans les tirailleurs algériens.
Nom |
Français |
English |
Bataillons de ligne |
Infanterie Ordre serré, Fusil à pierre, Baïonnettes, |
Close order Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, |
Bataillons d'infanterie légère |
Infanterie Ordre dispersé, Fusil à pierre, Baïonnettes, |
Open order Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, |
Régiment de Hohenlohe (étranger) |
Infanterie Ordre dispersé, Fusil à pierre, Baïonnettes, |
Open order Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, |
Bataillon de tirailleurs de Vincennes |
Infanterie Ordre dispersé, Fusil rayé à silex, Baïonnettes, |
Open order Infantry, Muzzle loading rifle, Bayonet, |
Bataillons de chasseurs , « chasseurs d'Orléans » de 1842 à 1848. |
Infanterie Ordre dispersé, Fusil rayé à silex, Baïonnettes, |
Open order Infantry, Muzzle loading rifle, Bayonet, |
Bataillon de marins des équipages de ligne |
Infanterie Ordre dispersé, Fusil à pierre, Baïonnettes, |
Open order Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, |
Garde nationale au service ordinaire |
Infanterie Ordre serré, Fusil à pierre, Baïonnettes, Recrues, |
Close order Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, Raw, |
Garde nationale au service de réserve |
Infanterie Ordre serré, Fusil à pierre, Baïonnettes, Recrues, Hésitants |
Close order Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, Raw, Wavering |
Garde nationale de Paris |
Infanterie Ordre serré, Fusil à pierre, Baïonnettes, Recrues, |
Close order Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, Raw, |
Régiments de carabiniers |
Cavalerie, Lourds, Pistolet à pierre, Latte, |
Cavalry, Heavy, Flint Pistol, Straight Sabre, |
Régiments de cuirassiers |
Cavalerie, Lourds, Pistolet à pierre, Latte, |
Cavalry, Heavy, Flint Pistol, Straight Sabre, |
Régiments de dragons |
Cavalerie, Pistolet à pierre, Latte, |
Cavalry, Flint Pistol, Straight Sabre, |
Chasseurs à cheval |
Cavalerie Ordre dispersé, Mousqueton à silex, Sabre, |
Open order Cavalry, Flint cavalry gun, Sabre, |
Hussards |
Cavalerie Ordre dispersé, Mousqueton à silex, Sabre, |
Open order Cavalry, Flint cavalry gun, Sabre, |
Régiment des Lanciers d'Orléans |
Cavalerie Ordre dispersé, Mousqueton à silex, Lance courte, |
Open order Cavalry, Flint cavalry gun, Spear, |
Lanciers |
Cavalerie Ordre dispersé, Mousqueton à silex, Lance courte, |
Open order Cavalry, Flint cavalry gun, Spear, |
Artillerie de 6 livres |
Servant d'artillerie , Canon de 8 à 11 livres, Baïonnettes, |
Foot Artilery crew, 8 to 11 Pnd Gun, Bayonet, |
Artillerie de 8 livres |
Servant d'artillerie , Canon de 8 à 11 livres, Baïonnettes, |
Foot Artilery crew, 8 to 11 Pnd Gun, Bayonet, |
Artillerie compagnies de réserve de 12 livres |
Servant d'artillerie , Canon 12 à 17 livres, Baïonnettes, |
Foot Artilery crew, 12 to 17 Pnd Gun, Bayonet, |
Artillerie à cheval compagnies de 6 livres |
Servant d'artillerie volante , Canon de 8 à 11 livres, Baïonnettes, |
Horse Artilery crew, 8 to 11 Pnd Gun, Bayonet, |
Batterie de montagne de 6 livres court |
Servant d'artillerie , Canon 4 à 7 livres, Baïonnettes, |
Foot Artilery crew, 4 to 7 Pnd Gun, Bayonet, |
Batterie à fusées de 8 livres |
Servant d'artillerie , Fusées Congrève, Baïonnettes, |
Foot Artilery crew, Congreve rockets, Bayonet, |
Batterie de fusils de rempart |
Servant d'artillerie , Canon 4 à 7 livres, Baïonnettes, Hésitants |
Foot Artilery crew, 4 to 7 Pnd Gun, Bayonet, Wavering |
Armée d'Afrique |
|
|
Zouaves |
Infanterie Ordre dispersé, Fusil à pierre, Baïonnettes, Enragés |
Open order Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, Angry |
Tirailleurs Indigènes |
Infanterie Ordre dispersé, Fusil à pierre, Baïonnettes, Enragés |
Open order Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, Angry |
Tirailleurs algériens |
Infanterie Ordre dispersé, Fusil à pierre, Baïonnettes, Enragés |
Open order Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, Angry |
1ère Légion étrangère |
Infanterie Ordre dispersé, Fusil à pierre, Baïonnettes, Enragés |
Open order Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, Angry |
2ème Légion étrangère |
Infanterie Ordre dispersé, Fusil à pierre, Baïonnettes, Enragés |
Open order Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, Angry |
Bataillons d'infanterie légère d'Afrique (BILA) |
Infanterie Ordre dispersé, Fusil à pierre, Baïonnettes, Enthousiastes |
Open order Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, Enthousiasts |
Bataillon de Tirailleurs d'Afrique |
Infanterie Ordre dispersé, Fusil à pierre, Baïonnettes, |
Open order Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, |
Compagnies auxiliaires des « volontaires parisiens » réunies |
Infanterie Ordre dispersé, Fusil à pierre, Baïonnettes, |
Open order Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, |
Compagnies méharistes réunies |
Infanterie méhariste Ordre dispersé, Fusil à pierre, Baïonnettes, |
Open order Meharist Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, |
Bataillon de la Garde nationale d'Alger |
Infanterie Ordre serré, Fusil à pierre, Baïonnettes, Recrues, |
Close order Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, Raw, |
Chasseurs d'Afrique |
Cavalerie Ordre dispersé, Mousqueton à silex, Sabre, |
Open order Cavalry, Flint cavalry gun, Sabre, |
Spahis réguliers |
Cavalerie Ordre dispersé, Mousqueton à silex, Sabre, |
Open order Cavalry, Flint cavalry gun, Sabre, |
Spahis irréguliers |
Cavalerie Ordre dispersé, Mousqueton à silex, Sabre, Hésitants |
Open order Cavalry, Flint cavalry gun, Sabre, Wavering |
Zouaves à cheval |
Cavalerie Ordre dispersé, Mousqueton à silex, Sabre, Enthousiastes |
Open order Cavalry, Flint cavalry gun, Sabre, Enthousiasts |
Chasseurs algériens |
Cavalerie Ordre dispersé, Mousqueton à silex, Sabre, |
Open order Cavalry, Flint cavalry gun, Sabre, |
Alliés indigènes |
|
|
Fantassins des tribus alliés |
Infanterie Ordre dispersé, Fusil à pierre, Baïonnettes, |
Open order Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, |
Fantassins montés des tribus alliés |
Infanterie montée Ordre dispersé, Fusil à pierre, Baïonnettes, |
Open order Mounted Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, |
Fantassins chameliers des tribus alliés |
Infanterie méhariste Ordre dispersé, Fusil à pierre, Baïonnettes, |
Open order Meharist Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, |
Irréguliers alliés |
Infanterie Ordre dispersé, Fusil à pierre, Baïonnettes, Hésitants |
Open order Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, Wavering |
Compagnies de « Turcs auxiliaires » réunies |
Infanterie Ordre dispersé, Fusil à pierre, Baïonnettes, |
Open order Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, |
Garnison urbaine alliés |
Infanterie Ordre serré, Fusil à pierre, Baïonnettes, Recrues, |
Close order Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, Raw, |
Cavalerie tribale alliés |
Cavalerie Ordre dispersé, Mousqueton à silex, Sabre, Enragés |
Open order Cavalry, Flint cavalry gun, Sabre, Angry |
Artillerie alliés |
Servant d'artillerie , Canon de 8 à 11 livres, Baïonnettes, Recrues, |
Foot Artilery crew, 8 to 11 Pnd Gun, Bayonet, Raw, |
Caractéristiques en CLASH ! L'autre Jeu d'Histoire
Armée d'Afrique |
Troupe |
m |
Max |
Type |
Ord |
C |
B |
V |
A |
R |
P |
E |
M |
Arme Tir |
P |
F |
T/T |
T/F |
Notes Tir |
Arme de mêlée |
F |
RS |
C/F |
Notes C&C |
Spécial |
Zouaves |
0 |
3 |
Infanterie |
OD |
0 |
0 |
1 |
3 |
4 |
2 |
N |
N |
Fusil à pierre |
4 |
5 |
2 |
1 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
2 bataillons 1er octobre 1830, 1 7 mars 1833, 2 en 1835, 3 10 mars 1837, 2 21 décembre 1838, 3 8 septembre
1841.Enragés |
Tirailleurs Indigènes |
0 |
1 |
Infanterie |
OD |
0 |
0 |
1 |
3 |
4 |
2 |
N |
N |
Fusil à pierre |
4 |
5 |
2 |
1 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
1838 au 7 décembre 1841Enragés |
Tirailleurs algériens |
0 |
3 |
Infanterie |
OD |
0 |
0 |
1 |
3 |
4 |
2 |
N |
N |
Fusil à pierre |
4 |
5 |
2 |
1 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
le 7 décembre 1841Enragés |
1ère Légion étrangère |
0 |
7 |
Infanterie |
OD |
0 |
0 |
1 |
3 |
4 |
2 |
N |
N |
Fusil à pierre |
4 |
5 |
2 |
1 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
7 bataillons 9 mars 1831, 6 en 1834, cédée à l'Espagne le 28 juin 1835Enragés |
2ème Légion étrangère |
0 |
6 |
Infanterie |
OD |
0 |
0 |
1 |
3 |
4 |
2 |
N |
N |
Fusil à pierre |
4 |
5 |
2 |
1 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
3 bataillons 16 décembre 1839, 5 en 1840, 6 le 30 décembre 184Enragés |
Bataillons d'infanterie légère d'Afrique (BILA) |
0 |
3 |
Infanterie |
OD |
0 |
0 |
1 |
3 |
4 |
2 |
N |
E |
Fusil à pierre |
4 |
5 |
2 |
1 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
2 le 3 juin 1832, 3 le 20 juin 1833. |
Bataillon de Tirailleurs d'Afrique |
0 |
1 |
Infanterie |
OD |
0 |
0 |
1 |
3 |
5 |
1 |
N |
N |
Fusil à pierre |
4 |
5 |
2 |
1 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
1836 au 8 septembre 1841. |
Compagnies auxiliaires des « volontaires parisiens » réunies |
0 |
1 |
Infanterie |
OD |
0 |
0 |
1 |
3 |
4 |
2 |
N |
N |
Fusil à pierre |
4 |
5 |
2 |
1 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
de 1830 à 1835. |
Compagnies méharistes réunies |
0 |
1 |
Infanterie méhariste |
OD |
0 |
0 |
1 |
4 |
5 |
1 |
N |
N |
Fusil à pierre |
4 |
5 |
2 |
1 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
de 1843 à 1848./ Effet chameaux/ |
Bataillon de la Garde nationale d'Alger |
0 |
1 |
Infanterie |
OS |
0 |
0 |
1 |
2 |
3 |
3 |
R |
N |
Fusil à pierre |
4 |
5 |
2 |
1 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
créé en 1831. |
Chasseurs d'Afrique |
0 |
4 |
Cavalerie |
OD |
0 |
0 |
1 |
5 |
6
|
0
|
N |
N |
Mousqueton à silex |
3 |
5 |
2 |
1 |
Tir monté= -1 tir/tour - Ignore armure |
Sabre de cavalerie |
5 |
0 |
1 |
|
2 régiments le 17 novembre 1831, 3 en 1832 et 4 en 1839. |
Spahis réguliers |
0 |
3 |
Cavalerie |
OD |
0 |
0 |
1 |
5 |
6
|
0
|
N |
N |
Mousqueton à silex |
3 |
5 |
2 |
1 |
Tir monté= -1 tir/tour - Ignore armure |
Sabre de cavalerie |
5 |
0 |
1 |
|
1 groupement 10 septembre 1834, 3 après 1835 |
Spahis irréguliers |
0 |
3 |
Cavalerie |
OD |
0 |
0 |
1 |
5 |
6 |
0 |
N |
H |
Mousqueton à silex |
3 |
5 |
2 |
1 |
Tir monté= -1 tir/tour - Ignore armure |
Sabre de cavalerie |
5 |
0 |
1 |
|
2 groupements en 1831, 3 en 1832 selon les besoins après 1834. |
Zouaves à cheval |
0 |
1 |
Cavalerie |
OD |
0 |
0 |
1 |
5 |
6 |
0 |
N |
E |
Mousqueton à silex |
3 |
5 |
2 |
1 |
Tir monté= -1 tir/tour - Ignore armure |
Sabre de cavalerie |
5 |
0 |
1 |
|
de fin 1830 au 17 novembre 1831. |
Chasseurs algériens |
0 |
1 |
Cavalerie |
OD |
0 |
0 |
1 |
5 |
6 |
0 |
N |
N |
Mousqueton à silex |
3 |
5 |
2 |
1 |
Tir monté= -1 tir/tour - Ignore armure |
Sabre de cavalerie |
5 |
0 |
1 |
|
Octobre 1830 au 17 novembre 1831 |
Alliés indigènes |
Fantassins des tribus alliés |
0 |
10 |
Infanterie |
OD |
0 |
0 |
1 |
3 |
4 |
2 |
N |
N |
Fusil à pierre |
4 |
5 |
2 |
1 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
|
Fantassins montés des tribus alliés |
0 |
4 |
Infanterie montée sur chevaux |
OD |
0 |
0 |
1 |
4 |
4 |
2 |
N |
N |
Fusil à pierre |
4 |
5 |
2 |
1 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
|
Fantassins chameliers des tribus alliés |
0 |
2 |
Infanterie méhariste |
OD |
0 |
0 |
1 |
4 |
4 |
2 |
N |
N |
Fusil à pierre |
4 |
5 |
2 |
1 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
Si Sahara, au lieu des précédents/ Effet chameaux/ |
Irréguliers alliés |
0 |
2 |
Infanterie |
OD |
0 |
0 |
1 |
3 |
4 |
2 |
N |
H |
Fusil à pierre |
4 |
5 |
2 |
1 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
|
Compagnies de « Turcs auxiliaires » réunies |
0 |
1 |
Infanterie |
OD |
0 |
0 |
1 |
3 |
4 |
2 |
N |
N |
Fusil à pierre |
4 |
5 |
2 |
1 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
de 1830 à 1841. |
Garnison urbaine alliés |
0 |
1 |
Infanterie |
OS |
0 |
0 |
1 |
2 |
3 |
3 |
R |
N |
Fusil à pierre |
4 |
5 |
2 |
1 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
|
Cavalerie tribale alliés |
0 |
40 |
Cavalerie |
OD |
0 |
0 |
1 |
5 |
6 |
0 |
N |
N |
Mousqueton à silex |
3 |
5 |
2 |
1 |
Tir monté= -1 tir/tour - Ignore armure |
Sabre de cavalerie |
5 |
0 |
1 |
|
Enragés |
Artillerie alliés |
0 |
1 |
Servant d'artillerie |
OM |
0 |
0 |
1 |
2 |
1 |
5 |
R |
N |
Canon de 8 à 11 livres |
10 |
4 |
1 |
2 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
Si 4 unités d'infanterie alliée |
Une partie de ces volontaires formèrent le bataillon
de Tirailleurs d'Afrique, envoyé en Algérie et versé dans les zouaves.
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