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40 Armées Indispensables : de Qadesh à La Marne |
T 1 : Armées Antiques et Médiévales |
T1.1 : L'Europe |
T1.2 : L'Asie |
T1.3 : Le Reste |
T 2 : Armées 1500-1700 |
T 3 : Armées 1700-1790 |
T 4 : Armées 1790-1850 |
T 5 : Armées 1850-1925 |
T 6 : Armées Imaginaires |
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Tous droits résérvés © Vincent Hérelle + Philippe Bondurand, 2020 |
CLASH ! L'autre Jeu d'Histoire
- Les Armées Françaises Médiévales
-
Liste M31- Septième Croisade (Saint-Louis) 1249-1254
La septième croisade est la première
des deux croisades entreprises sous la direction du roi Louis IX dit Saint Louis. Décidée par le
roi en 1244, elle quitte le royaume de France en 1248 et aborde l’Égypte en 1249. Vaincue par les maladies,
l’armée ne retrouve sa liberté qu’en 1250, et le roi de France passe les quatre années suivantes
à mettre le royaume de Jérusalem en état de se défendre contre les Mamelouks. La croisade
prend fin en 1254, avec le retour du roi en France après la mort de sa mère Blanche de Castille,
qui assurait la régence du royaume pendant son absence.
Le roi saint Louis, gravement malade à Pontoise, en décembre 1244, fait le vœu de partir en croisade
s’il guérit. Contrairement aux précédentes croisades, cette septième croisade est exclusivement
composée de nobles du royaume de France. D’ailleurs cette entreprise n’est pas vue d’un bon œil par d’autres
membres de la chrétienté : l’islamophile Frédéric II envoie une ambassade secrète
pour avertir le sultan d’Égypte, et la république de Venise, important partenaire commercial de l’Égypte,
qui craint qu’un débarquement n’entraîne la rupture des contrats commerciaux.
Une précédente croisade, celle de Thibaut IV de Champagne en 1239, avait montré qu’il n’était
pas envisageable de marcher directement sur Jérusalem, aussi les croisés décident de débarquer
en Égypte pour y prendre des villes et les échanger contre Jérusalem.
L’époque est favorable pour les croisés. L’Empire ayyoubide de Saladin est divisé entre
le sultan d’Égypte, l’émir de Damas et celui d’Alep, qui se font la guerre. Malik al-Salih Ayyoub,
sultan d’Égypte assiège Alep, et les émirs syriens, cherchent à négocier l’alliance
des croisés contre leur cousin. Mais le roi de France, pas encore au fait de la politique d’Orient, ne veut
pas s’allier à des musulmans et les éconduit.
Au printemps 1249, la ville de Saint-Jean-d'Acre, qui doit livrer les navires pour transporter l’armée
en Égypte, est déchirée entre les Pisans et les Génois qui se livrent à des
combats de rue. Louis IX doit intervenir pour négocier la paix. L’escadre arrive enfin à Limassol,
mais peu après le départ pour l'Égypte, une tempête la disperse. Les premiers navires
arrivent en vue de Damiette le 4 juin
Le 5 juin 1249, les croisés débarquent sous les charges successives des soldats musulmans, et réussissent
à mettre le pied sur le rivage, puis à repousser l’armée ayyoubide. Plusieurs émirs
sont tués et Fakhr al-Din décide d’abandonner la plage. Il se replie sur Damiette, mais n’ose pas
y rester et se réfugie à Ashmûn-Tannâh, plus au sud. Pris de panique, les habitants de
Damiette évacuent leur ville pour fuir dans le delta du Nil. Avec prudence car ils craignent un piège,
le 6 juin, les croisés peuvent entrer dans Damiette, et s’en emparer
L’armée prend le chemin du Caire le 20 novembre 1249. L’émir Fakhr al-Dîn organise de nombreuses
escarmouches pour harceler les croisés. Le 7 décembre 1249, six cents cavaliers musulmans attaquent
les Francs entre Fâriskûr (en) et Sharimsâh. Ils sont repoussés, mais malgré l’interdiction
de saint Louis de se lancer à la poursuite des soldats qui battent en retraite, les Templiers voulant venger
l’un des leurs le font et tuent la moitié des assaillants. Le 21 décembre, l’armée arrive
à proximité de Mansourahier et installe un camp, régulièrement attaqué par les
musulmans. Pour attaquer la ville, il faut franchir un bras du Nil, le Bahr al-Saghîr, mais Fakhr al-Dîn
tient fermement l’autre rive. Ayant appris d’un déserteur bédouin l’existence d’un gué à
Salamûn, quelques kilomètres en aval, saint Louis et son armée traversent le Bahr al-Saghîr
le 8 février 1250. Le comte d’Artois est l’un des premiers à mettre le pied sur l’autre rive et,
malgré les conseils de prudence des Templiers, se met à charger le camp musulman, suivi par les Templiers
qui ne peuvent l’abandonner. Le camp est investi, Fakhr al-Dîn tué et l’armée en déroute.
Mais, au lieu de faire acte de sagesse et d’attendre l’arrivée du reste de l’armée royale, Robert
d’Artois se met en tête d’investir Mansourah. Il s’engage dans la ville et se rue vers la forteresse, toujours
suivi des Templiers qui avaient tenté de le raisonner ; malheureusement pour eux, les musulmans s’étaient
regroupés autour d’un chef mamelouk, un certain Baybars, qui organise la contre-attaque. Toute l’avant-garde
est massacrée ce jour-là.
Les Mamelouks, ayant défait l’avant-garde, chargent maintenant l’armée croisée qui achève
la traversée du gué. Le régiment d'arbalétriers, seul capable de s’opposer aux archers,
et l’infanterie n’ont pas encore traversé la rivière qui est malgré tout profonde pour ses
soldats à pied. Pour éviter l’anéantissement de sa cavalerie, saint Louis lui ordonne de charger
les Mamelouks. Il reprend pour peu de temps l’avantage, mais subit de nouveau les assauts musulmans. Ce délai
permet aux arbalétriers de jeter un pont de fortune, de franchir le gué, et de repousser la cavalerie
mamelouk.
Saint Louis fait doubler le pont, et l’infanterie traverse à son tour le Bahr al-Saghîr. Le 11 février,
l’armée musulmane attaque de nouveau l’armée franque et est repoussée après une bataille
très rude. Mais le vent tourne pour les croisés. L'accumulation des morts entraîne des épidémies,
et le nouveau sultan, Tûrân Châh, qui se trouvait en Mésopotamie à la mort de son
père, arrive à Mansourah le 28 février et organise la défense. Il fait venir des bateaux
qui repoussent la flotte croisée sur le Nil. En plus des épidémies, c'est la disette qui frappe
l'armée croisée, et Louis IX se résout à battre en retraite le 5 avril.
L’avant-garde de l’armée arrive à Fâriskûr, son arrière-garde est à Shâramsâh
avec le roi, lequel est gravement malade et doit se réfugier dans une maison de la bourgade, défendue
par Gaucher de Châtillon18, lequel trouvera la mort à Munyat Abu Abdallah le 6 avril 1251. Les barons
syriens, avec Philippe de Montfort à leur tête, décident de parlementer avec les chefs musulmans
pour négocier l’échange de Damiette contre la vie sauve des soldats croisés, mais un sergent
du nom de Marcel, circonvenu par des émirs, trahit : il se présente auprès des barons syriens
comme un envoyé de saint Louis et les incite à se rendre au nom du roi (6 avril 1250). Embarrassé
par le nombre de prisonniers, les musulmans massacrent les blessés, mais un accord est conclu entre Tûrân
Châh et saint Louis, échangeant la vie sauve et la liberté de l’armée croisée
contre Damiette et une rançon de 500 000 livres tournois.
C’est alors qu’un événement vient remettre en cause ces accords : le précédent sultan
était peu apprécié de son peuple et de ses soldats mamelouks et son fils, peu connu, passe
pour être incapable. La colère gronde et les officiers mamelouks tuent Tûrân Châh
le 2 mai 1250 après l’avoir poursuivi toute la journée et prennent le pouvoir en Égypte. Après
avoir hésité à égorger tous les prisonniers, les Mamelouks décident de reprendre
à leur compte l’accord de libération des prisonniers. Cependant, et malgré la venue au monde
de Jean Tristan, la reine Marguerite de Provence réussit à conserver Damiette (jusqu'au 6 mai 1250).
Pour la rançon, Louis IX demande une avance aux Templiers, et devant le refus de ces derniers, doit envoyer
le sénéchal de Joinville sur les nefs templières pour prendre l’argent de force. Libéré,
saint Louis quitte l’Égypte le 8 mai et aborde à Saint-Jean-d'Acre le 13 mai.
Malgré son échec, saint Louis est reçu allègrement par les chrétiens d’Orient
surtout les maronites libanais qui viennent à Saint-Jean-d'Acre par milliers pour le saluer. Il est vrai
qu’il se soucie du sort du royaume et ne compte pas rentrer en Europe aussitôt après avoir rempli
l’obligation de combattre contre les musulmans. Sans sa présence, les chrétiens du Levant ne peuvent
compter que sur la protection de leur roi Conrad II, fils de l’empereur Frédéric II, qui reste au
loin en Germanie et qui est ouvertement islamophile et allié de l’Égypte. La présence de Louis
IX représente un espoir non négligeable face aux Mamelouks, beaucoup plus fanatiques que leurs prédécesseurs
ayyoubides.
Aussi, malgré la demande de la régente Blanche de Castille, qui souhaite revoir son fils et lui rendre
les destinées du royaume de France, malgré le conseil de nombreux barons qui veulent rentrer, saint
Louis décide d’entamer en Syrie un séjour qui va durer quatre ans. Bien que les droits à la
couronne du royaume de Jérusalem soient détenus par les Hohenstaufen, saint Louis est considéré
comme le souverain du royaume pendant son séjour.
Le royaume de Jérusalem se trouve momentanément en paix, car Al-Nasir Yusuf, émir ayyoubide
d’Alep, n’acceptant pas la prise de pouvoir des Mamelouks en Égypte, s’empare de Damas qui rejette la domination
mamelouk, puis de Gaza et revendique le sultanat d’Égypte. Il envahit l’Égypte, mais est battu à
El’Abbâsa le 2 février 1251. Pour le roi Louis IX, la question se pose de savoir à qui s’allier.
Les Ayyoubides lui envoient une ambassade qui se montre très intéressante, car avec Damas ils ont
repris le contrôle de Jérusalem qu’il propose de céder, mais le roi ne peut pas conclure ouvertement
une alliance, car les Mamelouks retiennent encore de nombreux prisonniers croisés qui pourraient alors être
exécutés. La situation permet au roi d’envoyer un ultimatum à l’Égypte et d’obtenir
la libération des prisonniers sur la simple promesse de ne pas s’allier aux Ayyoubides. Finalement, entre
l’Ayyoubide qui tient Jérusalem et qui commence à faire preuve d’incapacité et les Mamelouks
qui promettent la rétrocession de Jérusalem quand ils auraient reconquis l’émirat de Damas,
Louis IX choisit de s’allier aux Mamelouks en mars 1252. Mais la guerre entre les Mamelouks et les Ayyoubides inquiète
les dirigeants musulmans qui craignent un affaiblissement des leurs en Syrie face aux Francs, et Al-Musta'sim,
calife de Bagdad, intervient et impose la paix entre les deux ennemis, réduisant à néant les
espoirs de Louis IX de récupérer Jérusalem.
Mais l’œuvre de saint Louis en Terre sainte ne s’arrête pas à cette politique extérieure. Dès
son arrivée, il décide de renforcer les défenses de ce qui reste du royaume de Jérusalem.
Il renforce les fortifications de Jaffa, Saint-Jean-d'Acre, Césarée, Sidon. Ces actions montrent
rapidement leur bien-fondé car peu après la paix entre les Mamelouks et les Ayyoubides, une troupe
de Bédouins en garnison à Gaza pour le compte de l’émir de Damas évacuent la ville
conformément aux traités et repartent vers le nord en passant à côté de Jaffa.
Quelques escarmouches les opposent aux arbalétriers chrétiens, mais si le bourg n’avait pas été
fortifié, il aurait probablement été pillé et saccagé, car ils pillèrent
quelques villages avant d’assiéger en vain Saint-Jean-d'Acre, puis de piller la ville basse de Sidon dont
les fortifications n’étaient pas achevées. En représailles, les chrétiens tentent de
prendre Panéas, mais échouent.
Saint Louis doit cependant renforcer l’autorité royale dans un royaume qui a appris à se passer
d’un roi depuis vingt ans et tente de mettre au pas les ordres militaires (Temple et Saint-Jean de l’Hospital)
qui ne relèvent que du pape mais avaient tendance à se considérer comme quasiment indépendants.
Il intervient également dans les affaires de la principauté d'Antioche et écarte Lucienne
de Segni qui ne veut pas mettre fin à la régence. Il confirme Bohémond VI comme prince, et
négocie un traité qui met fin entre l'antagonisme entre la Petite-Arménie et Antioche.
Pour contrer la paix et l’alliance entre les Mamelouks et les Ayyoubides, il amorce un rapprochement avec les
ismaëliens et envoie une ambassade auprès du khan mongol de Perse. Cette action n’aboutit pas, car
Louis IX est déjà reparti en France au retour de l’ambassade, mais cette démarche est à
la base de l’alliance entre les khans mongols, le royaume de Petite-Arménie et la principauté d’Antioche
dans la décennie qui suit.
|
Troupes Disponibles
Nom
|
Min
|
Max
|
Description en Français
|
English Description
|
Généraux
|
1
|
4
|
Cavalerie, Très lourds, Bouclier, ,, Lance médiévale +Masse,
Supérieurs, Enthousiastes
|
Cavalry, Very Heavy, Shield, ,, Heavy Lance + Mace, Superior, Enthousiasts
|
Chevaliers de l'Ost Royal
|
12
|
30
|
Cavalerie, Très lourds, Bouclier, ,, Lance médiévale +Masse,
Vétérans, Enthousiastes
|
Cavalry, Very Heavy, Shield, ,, Heavy Lance + Mace, Veteran, Enthousiasts
|
+1 Sergents par chevalier
|
12
|
30
|
Cavalerie, Lourds, Bouclier, ,, Lance médiévale +Masse, Vétérans,
|
Cavalry, Heavy, Shield, ,, Heavy Lance + Mace, Veteran,
|
Autres Chevaliers
|
0
|
12
|
Cavalerie, Très lourds, Bouclier, ,, Lance médiévale +Masse,
Enthousiastes
|
Cavalry, Very Heavy, Shield, ,, Heavy Lance + Mace, Enthousiasts
|
+1 Sergents par chevalier
|
0
|
12
|
Cavalerie, Lourds, Bouclier, ,, Lance médiévale +Masse,
|
Cavalry, Heavy, Shield, ,, Heavy Lance + Mace,
|
Lanciers
|
0
|
100
|
Infanterie Ordre serré, Lourds, Bouclier, ,, Lance courte,
|
Close order Infantry, Heavy, Shield, ,, Short spear,
|
Arbalétriers
|
0
|
48
|
Infanterie , Lourds, Bouclier, Arbalète légère, Dague, Hésitants
|
Order Infantry, Heavy, Shield, Light crossbow, Knife, Wavering
|
Mercenaires
|
24
|
72
|
Infanterie , Lourds, Bouclier, Arbalète légère, Arme de poing,
Vétérans, Hésitants
|
Order Infantry, Heavy, Shield, Light crossbow, Side arm, Veteran, Wavering
|
Archers
|
0
|
24
|
Infanterie , Arc, Dague,
|
Order Infantry, Bow, Knife,
|
Javeliniers
|
0
|
18
|
Infanterie Ordre dispersé, Javelots, Dague,
|
Open order Infantry, Javelin, Knife,
|
Tirailleurs
|
0
|
18
|
Infanterie Ordre dispersé, Arc, Dague,
|
Open order Infantry, Bow, Knife,
|
Arbalètriers en Tirailleurs
|
0
|
18
|
Infanterie Ordre dispersé, Arbalète légère, Dague,
|
Open order Infantry, Light crossbow, Knife,
|
Option ordres de chevalerie
|
Officiers des Ordres
|
0
|
2
|
Cavalerie, Très lourds, Bouclier, ,, Lance médiévale +Masse,
Supérieurs, Fanatiques
|
Cavalry, Very Heavy, Shield, ,, Heavy Lance + Mace, Superior, Fanatics
|
Chevaliers de l'Ost Royal
|
0
|
12
|
Cavalerie, Très lourds, Bouclier, ,, Lance médiévale +Masse,
Vétérans, Fanatiques
|
Cavalry, Very Heavy, Shield, ,, Heavy Lance + Mace, Veteran, Fanatics
|
+1 Sergents ou turcopole par chevalier
|
0
|
12
|
Cavalerie, Lourds, Bouclier, ,, Lance médiévale +Masse, Vétérans,
Fanatiques
|
Cavalry, Heavy, Shield, ,, Heavy Lance + Mace, Veteran, Fanatics
|
Turcopoles légers
|
0
|
18
|
Cavalerie Ordre dispersé, Bouclier, Arc, Lance courte,
|
Open order Cavalry, Shield, Bow, Spear,
|
Option alliés chrétiens d'orient (seulement en Syrie)
|
Envoyé du patriarche
|
0
|
1
|
Cavalerie Ordre dispersé, Lourds, Bouclier, ,, Lance médiévale
+Masse,
|
Open order Cavalry, Heavy, Shield, ,, Heavy Lance + Mace,
|
Zaims
|
0
|
12
|
Cavalerie Ordre dispersé, Lourds, Bouclier, ,, Lance couchée,
|
Open order Cavalry, Heavy, Shield, ,, Lance,
|
Antars
|
0
|
36
|
Infanterie , Arc, Arme de poing,
|
Order Infantry, Bow, Side arm,
|
Caractéristiques en CLASH ! L'autre Jeu d'Histoire
Troupes
|
Min
|
Max
|
Type
|
Ord
|
Cui
|
Bou
|
Vies
|
Act
|
Red
|
Piv
|
Ent
|
Mor
|
Arme de Tir
|
Port
|
Fact
|
T/Tour
|
T/Fig
|
Notes Tir
|
Arme de mêlée
|
Fac
|
RS
|
C/Fig
|
Notes C&C
|
Spécial
|
Généraux |
1
|
4
|
MCM
|
OM
|
2
|
1
|
1
|
3
|
3
|
3
|
S
|
E
|
Non Tireur
|
0
|
0
|
0
|
0
|
-
|
Lance médiévale +Masse
|
2 et 4
|
0
|
1
|
2 au 1er tour combat si attaque, 4 ensuite
|
/ /
|
Chevaliers de l'Ost Royal |
12
|
30
|
MCM
|
OM
|
2
|
1
|
1
|
3
|
3
|
3
|
V
|
E
|
Non Tireur
|
0
|
0
|
0
|
0
|
-
|
Lance médiévale +Masse
|
2 et 4
|
0
|
1
|
2 au 1er tour combat si attaque, 4 ensuite
|
/ /
|
+1 Sergents par chevalier |
12
|
30
|
MCM
|
OM
|
1
|
1
|
1
|
4
|
4
|
2
|
V
|
M
|
Non Tireur
|
0
|
0
|
0
|
0
|
-
|
Lance médiévale +Masse
|
2 et 4
|
0
|
1
|
2 au 1er tour combat si attaque, 4 ensuite
|
/ /
|
Autres Chevaliers |
0
|
12
|
MCM
|
OM
|
2
|
1
|
1
|
3
|
3
|
3
|
N
|
E
|
Non Tireur
|
0
|
0
|
0
|
0
|
-
|
Lance médiévale +Masse
|
2 et 4
|
0
|
1
|
2 au 1er tour combat si attaque, 4 ensuite
|
/ /
|
+1 Sergents par chevalier |
0
|
12
|
MCM
|
OM
|
1
|
1
|
1
|
4
|
4
|
2
|
N
|
M
|
Non Tireur
|
0
|
0
|
0
|
0
|
-
|
Lance médiévale +Masse
|
2 et 4
|
0
|
1
|
2 au 1er tour combat si attaque, 4 ensuite
|
/ /
|
Lanciers |
0
|
100
|
IPS
|
OS
|
1
|
1
|
1
|
2
|
3
|
3
|
N
|
M
|
Non Tireur
|
0
|
0
|
0
|
0
|
-
|
Lance courte
|
5
|
1
|
1
|
-
|
/ /
|
Arbalétriers |
0
|
48
|
IPM
|
OM
|
1
|
1
|
1
|
2
|
3
|
3
|
N
|
H
|
Arbalète légère
|
4
|
5
|
2
|
1
|
-
|
Dague
|
6
|
0
|
1
|
-
|
/ /
|
Mercenaires |
24
|
72
|
IPM
|
OM
|
1
|
1
|
1
|
2
|
3
|
3
|
V
|
H
|
Arbalète légère
|
4
|
5
|
2
|
1
|
-
|
Arme de poing
|
5
|
0
|
1
|
-
|
/ /
|
Archers |
0
|
24
|
IPM
|
OM
|
0
|
0
|
1
|
2
|
3
|
3
|
N
|
M
|
Arc
|
4
|
5
|
2
|
1
|
-
|
Dague
|
6
|
0
|
1
|
-
|
/ /
|
Javeliniers |
0
|
18
|
IPD
|
OD
|
0
|
0
|
1
|
3
|
4
|
2
|
N
|
M
|
Javelots
|
2
|
4
|
2
|
1
|
-
|
Dague
|
6
|
0
|
1
|
-
|
/ /
|
Tirailleurs |
0
|
18
|
IPD
|
OD
|
0
|
0
|
1
|
3
|
4
|
2
|
N
|
M
|
Arc
|
4
|
5
|
2
|
1
|
-
|
Dague
|
6
|
0
|
1
|
-
|
/ /
|
Arbalètriers en Tirailleurs |
0
|
18
|
IPD
|
OD
|
0
|
0
|
1
|
3
|
4
|
2
|
N
|
M
|
Arbalète légère
|
4
|
5
|
2
|
1
|
-
|
Dague
|
6
|
0
|
1
|
-
|
/ /
|
Option ordres de chevalerie |
Officiers des Ordres |
0
|
2
|
MCM
|
OM
|
2
|
1
|
1
|
3
|
3
|
3
|
S
|
F
|
Non Tireur
|
0
|
0
|
0
|
0
|
-
|
Lance médiévale +Masse
|
2 et 4
|
0
|
1
|
2 au 1er tour combat si attaque, 4 ensuite
|
/ /
|
Chevaliers de l'Ost Royal |
0
|
12
|
MCM
|
OM
|
2
|
1
|
1
|
3
|
3
|
3
|
V
|
F
|
Non Tireur
|
0
|
0
|
0
|
0
|
-
|
Lance médiévale +Masse
|
2 et 4
|
0
|
1
|
2 au 1er tour combat si attaque, 4 ensuite
|
/ /
|
+1 Sergents ou turcopole par chevalier |
0
|
12
|
MCM
|
OM
|
1
|
1
|
1
|
4
|
4
|
2
|
V
|
F
|
Non Tireur
|
0
|
0
|
0
|
0
|
-
|
Lance médiévale +Masse
|
2 et 4
|
0
|
1
|
2 au 1er tour combat si attaque, 4 ensuite
|
/ /
|
Turcopoles légers |
0
|
18
|
MCD
|
OD
|
0
|
1
|
1
|
5
|
6
|
0
|
N
|
M
|
Arc
|
4
|
5
|
2
|
1
|
-
|
Lance courte
|
4
|
0
|
1
|
-
|
/ /
|
Option alliés chrétiens d'orient (seulement en Syrie) |
Envoyé du patriarche |
0
|
1
|
MCD
|
OD
|
1
|
1
|
1
|
5
|
6
|
0
|
N
|
M
|
Non Tireur
|
0
|
0
|
0
|
0
|
-
|
Lance médiévale +Masse
|
2 et 4
|
0
|
1
|
2 au 1er tour combat si attaque, 4 ensuite
|
/ /
|
Zaims |
0
|
12
|
MCD
|
OD
|
1
|
1
|
1
|
5
|
6
|
0
|
N
|
M
|
Non Tireur
|
0
|
0
|
0
|
0
|
-
|
Lance couchée
|
3 et 5
|
0
|
1
|
3 au 1er tour combat si attaque, 5 ensuite
|
/ /
|
Antars |
0
|
36
|
IPM
|
OM
|
0
|
0
|
1
|
2
|
3
|
3
|
N
|
M
|
Arc
|
4
|
5
|
2
|
1
|
-
|
Arme de poing
|
5
|
0
|
1
|
-
|
/ /
|
Les minima sont donnés pour des armées d'environ 3000 points, permettant de longues parties d'une
soirée entière. Pour des parties plus courtes, n'hésitez pas à les diviser.
|