Tous droits résérvés © Vincent Hérelle + Philippe Bondurand, 2020 |
CLASH ! L'autre Jeu d'Histoire
- Les Armées du 18ème siècle
-
Liste D 02 - Français, guerre de Succession
d'Espagne 1701-1714
La décision de Louis
XIV de reconnaître les droits de Philippe V à succéder à la couronne de France peut
paraître comme une provocation aux yeux des autres puissances. Elle ne participe pas à l'apaisement
des tensions. Mais ce qui va donner le prétexte aux autres puissances est l'occupation des possessions espagnoles
par les troupes françaises. En février 1701, des troupes françaises occupent les places de
la barrière au détriment des Provinces-Unies, et entreprennent une amélioration du réseau
défensif des Pays-Bas espagnols. Les autres puissances dénoncent cette nouvelle provocation, notamment
l'empereur Léopold de Habsbourg. Le 9 mars 1701, Maximilien-Emmanuel de Wittelsbach, électeur de
Bavière, signe un traité d'alliance avec la France et il est rapidement suivi par son frère,
Joseph-Clément de Wittelsbach, électeur de Cologne et évêque de Liège. Louis
XIV obtient également l'alliance du duc de Savoie qui autorise le libre passage à travers ses États
et donne l'appui de son armée. Malgré les provocations françaises, la Grande-Bretagne, puis
les Provinces-Unies reconnaissent Philippe V comme roi d'Espagne. Le 18 juin 1701, le Portugal signe un traité
d'amitié avec la France et l'Espagne. La France peut également compter sur l'appui du pape Clément
XI qui reconnaît Philippe V et envoie des subsides pour lutter contre l'Angleterre protestante.
La guerre se porte rapidement en Italie, les Français tentant d'y gagner les différents princes.
Louis XIV y a envoyé Catinat. Il doit protéger le duché de Milan. Léopold de Habsbourg
envoie le prince Eugène de Savoie en Italie. Ce dernier traverse les États de Venise et remporte
une victoire à Carpi. Villeroy remplace Catinat mais il est également battu à Chiari le 1er
septembre 1701. Les succès militaires des Habsbourg se doublent de succès diplomatiques puisque le
7 septembre 1701 est signé le traité de La Haye ou de « Grande Alliance » entre l'empereur,
la Grande-Bretagne, les Provinces-Unies et la Prusse, nouvellement érigée en royaume. L'empereur
devait obtenir une partie de l'héritage espagnol, en particulier le duché de Milan et les royaumes
de Naples et de Sicile. Les puissances maritimes obtiennent des garanties sur leurs conquêtes coloniales.
Les Pays-Bas formeraient une barrière pour les Provinces-Unies. La Saxe, la Hesse-Cassel, le Hanovre et
les princes-électeurs de Trèves et de Mayence se rangent aux côtés de la Grande Alliance.
Malgré la pression sur les Bourbon, Louis XIV réalise une nouvelle provocation en reconnaissant,
à la mort du prétendant Stuart, Jacques II, son fils Jacques III comme roi d'Angleterre, d'Écosse
et d'Irlande. Les relations diplomatiques entre les deux pays sont rompues.
Le 15 mai 1702, l'Angleterre, les Provinces-Unies et l'Autriche déclarent officiellement la guerre à
la France et au nouveau roi des Espagnes. Le Saint-Empire suit la même démarche en septembre 1702.
Les forces militaires terrestres sont à peu près équivalentes dans chaque camp. En outre,
les armées anglaises et néerlandaises peuvent recruter de nombreux soldats et mercenaires allemands
pour compléter leurs forces. De son côté, l'Autriche entraîne dans la guerre le Brandebourg
et le Hanovre qui lui fournissent des contingents et bénéficie de subsides provenant des puissances
maritimes, ce qui permet la constitution d'une armée d'Empire de 130 000 hommes8. En revanche, la Grande
Alliance bénéficie d'une large supériorité maritime. Le seul atout en la matière
pour la France est son potentiel de corsaires qui vont se distinguer durant le conflit.
Jusqu'en 1704, la France conserve l'initiative stratégique. Les alliés, dans un premier temps,
tentent d'empêcher l'invasion des Provinces-Unies par les troupes françaises. Ils occupent les forteresses
du duché de Gueldre et de l'électorat de Cologne. Joseph-Clément, chassé de ses États,
trouve refuge en France.
Sur le Rhin, les Autrichiens et Impériaux tentent de contenir les forces françaises et d'isoler la
Bavière mais Villars remporte une victoire sur Louis de Bade à Friedlingen le 14 octobre 1702. Il
s'empare ensuite de Kehl et réalise la jonction de ses troupes avec les troupes bavaroises en mai 1703.
Bavarois et Français tentent, sans succès, de couper les lignes de communication entre l'Autriche
et l'Italie, en lançant une offensive conjointe, mais malheureuse, sur le Tyrol. Villars stoppe une offensive
des Impériaux à Höchstädt, sauvant ainsi la Bavière. Il parvient même à
prendre Passau en janvier 1704. Dans le même temps, Tallard prend Vieux-Brisach le 6 septembre 1703. Dans
le même temps, l'empereur doit faire face à la révolte des Malcontents en Hongrie, financée
par Louis XIV. L'Autriche est gravement menacée si bien que l'empereur rappelle Eugène de Savoie
à Vienne avec le titre de président du Conseil de la guerre.
En Italie, le duc de Vendôme remplace Villeroy et repousse les Autrichiens au-delà du Pô. Son
armée affronte celle d'Eugène de Savoie à Luzzara le 15 août 1702. La bataille est indécise
mais la ville devient française. Vendôme échoue dans sa tentative de jonction avec les Franco-Bavarois
dans le Tyrol. Malgré les victoires françaises, le duc de Savoie Victor-Amédée II signe
un traité le 8 novembre 1703 avec l'empereur, abandonnant le camp français. Il devait recevoir un
subside mensuel ainsi que le Montferrat, Alexandrie, Valsesia et Vigevano dans le duché de Milan. Tessé
occupe une partie de la Savoie et désarme l'armée piémontaise.
Sur les mers, les premières tentatives des coalisés pour obtenir une base navale, sont repoussées,
notamment à Cadix en août 1702 et à Carthagène en septembre. Le 23 octobre, la flotte
anglo-hollandaise remporte une bataille décisive à Vigo où les Espagnols venaient de décharger
les cargaisons de 20 vaisseaux en provenance des Indes occidentales. Les alliés obtiennent la défection
du Portugal : le traité de Lisbonne (es), signé le 16 mai 1703, garantit au Portugal la protection
alliée, des villes en Espagne et un territoire en Amérique ; en échange, le Portugal reconnaît
l'archiduc Charles, fils cadet de l'empereur, comme roi d'Espagne et consent à le recevoir à Lisbonne.
Les ports portugais accueillent les navires alliés, à la suite de cet accord.
Le 12 septembre 1703, l'empereur renonce à la couronne d'Espagne pour lui et son fils aîné.
Il revendique l'ensemble de l'héritage espagnol pour son fils cadet Charles de Habsbourg. Ce dernier, reconnu
roi d'Espagne par les puissances maritimes, parvient à Lisbonne en mars 1704 mais les tentatives d'invasion
du territoire castillan s'avèrent vaines. En revanche, le 4 août 1704, la flotte de l'amiral Rooke
s'empare du rocher de Gibraltar dans le Sud de l'Espagne. Une flotte française sous le commandement du comte
de Toulouse, tente sans succès de reprendre Gibraltar, stoppée à Malaga le 24 août.
Avec Lisbonne et Gibraltar, les alliés disposent de solides points d'appui dans la péninsule Ibérique.
Devant les difficultés de l'empereur, le duc de Marlborough lance l'offensive en direction du Sud du Saint-Empire.
Il rejoint Eugène de Savoie. L'armée des coalisés remporte une première victoire à
Schellenberg le 2 juillet 1704 sur l'armée franco-bavaroise, pourtant renforcée par les armées
de Villeroy et Tallard. Elle pénètre ensuite en Bavière qui subit alors les pillages. La rencontre
décisive a lieu le 13 août 1704 à Blenheim et se solde par une terrible défaite pour
la France. La Bavière est désormais occupée et administrée par les troupes autrichiennes.
Les troupes françaises perdent l'initiative sur le continent. Le prince Eugène décide de profiter
de cet avantage pour venir à bout des Malcontents en Hongrie, dirigés par François Rákóczi,
toujours soutenus par la France. Les troupes impériales sont victorieuses à Nagyszombat puis à
Zsibo, mais ne parviennent pas à mettre fin à la guerre d'indépendance hongroise.
Le duc de Marlborough tente quelques incursions dans les Pays-Bas mais les divergences entre alliés handicapent
le général britannique. Au sud, en revanche, les armées françaises, victorieuses à
Cassano et Calcinato, s'emparent de Nice en 1705. Le point faible du dispositif franco-espagnol se situe en Catalogne.
En effet, les alliés vont utiliser les inquiétudes catalanes vis-à-vis de la centralisation
des Bourbons pour s'implanter en Espagne. Une flotte britannique débarque un corps expéditionnaire
sous les ordres de Peterborough à Barcelone. La ville tombe le 14 septembre 1705 puis la Catalogne se soumet.
Charles III fait de Barcelone la capitale de son gouvernement. Philippe V est menacé par l'est et par l'ouest.
Louis XIV est inquiet et cherche une issue diplomatique au conflit, sans succès.
Victoires des coalisés et épuisement des belligérants
En 1706, la France subit deux lourdes défaites : le 23 mai à Ramillies, Marlborough se rend maître
des Pays-Bas espagnols, et, le 7 septembre à Turin, le prince Eugène met fin au siège de la
ville et expulse les Français d'Italie. L'année suivante, aucune action majeure n'est entreprise
sur le front nord, tandis que les Franco-Espagnols sont victorieux à Almansa et qu'une tentative du prince
Eugène de prendre Toulon échoue. Mais en 1708 la victoire des coalisés à Audenarde
leur ouvre la route de la France : Lille est prise le 28 octobre puis l'armée commandée par Boufflers
capitule après un long siège de la Citadelle.
En décembre 1708, Louis XIV demande la paix, mais la coalition exige l'abandon de Philippe V et la collaboration
du roi de France aux opérations qui doivent chasser d'Espagne son petit-fils. Louis XIV, offusqué,
repousse ces conditions humiliantes et lance un appel à ses sujets, leur expose la situation le 12 juin
1709 et rappelle le duc de Villars à l’État-major. C'est à ce moment que le rapport de forces
bascule : à Malplaquet, l'armée française commandée par Villars, bien que vaincue tactiquement,
inflige de telles pertes aux Anglo-Prussiens qu'elle les oblige à se replier et à abandonner l'invasion
de la France. En 1710, à la bataille de Brihuega et à la bataille de Villaviciosa, en Espagne, les
forces britanniques et autrichiennes sont battues, sauvant le trône de Philippe V. L'année suivante,
à Denain, le maréchal de Villars remporte sur les forces impériales et néerlandaises
une victoire qui permet à Louis XIV de repasser à l'offensive dès 1713, lorsque les armées
françaises, menées par Villars, repassent le Rhin et prennent Fribourg-en-Brisgau.
Le coût de la guerre commence à peser sur les coalisés, et la situation politique évolue
favorablement pour Louis XIV : en Grande-Bretagne, le pacifisme progresse, les Britanniques supportant mal les
lourdes contributions financières nécessaires à l'entretien de leurs forces et de celles de
leurs alliés.
Toute l'Europe est épuisée, cet épuisement ouvrant la voie à la mise en œuvre d'une
solution diplomatique. Au congrès d'Utrecht, qui réunit les belligérants depuis janvier 1712,
chacun essaie de trouver une sortie honorable. Philippe V conserve le trône d'Espagne, tout en devant renoncer
au trône de France, pour lui et pour sa descendance. La France conserve les précédentes conquêtes
de Louis XIV (Flandre française, Roussillon, Lille, Artois, Franche-Comté, Alsace). En Amérique,
elle cède l'Acadie, rend Terre-Neuve et la baie d'Hudson à la Grande-Bretagne. En outre, elle doit
procéder au démantèlement du port de Dunkerque, principale base corsaire. Elle perd également
le monopole de l'asiento, obtenu au début du conflit, qui concerne principalement le droit de pratiquer
la traite des noirs dans les colonies espagnoles d'Amérique, au profit de l'Angleterre. L'Espagne cède
Gibraltar et Minorque à l'Angleterre. En outre, la France cède la forteresse d'Exilles et la vallée
d'Oulx à la Savoie et reçoit en échange la vallée de Barcelonnette. Les combats cessent
définitivement en 1713, après une campagne militaire en Allemagne victorieuse pour Louis XIV. Une
année après la signature du traité d'Utrecht, est signé le 6 mars 1714 le traité
de Rastatt. Pour l'Autriche, ce traité marque un agrandissement de ses États héréditaires
au détriment de sa puissance impériale. Mais les Habsbourg renoncent à la couronne d'Espagne
et des Amériques. Leur redressement est d'ailleurs temporaire. Dès 1738, ils rendent Naples et la
Sicile à Charles III d'Espagne, fils de Philippe V, à l'issue de la guerre de Succession de Pologne.
|
Troupes Disponibles
Nom
|
Min
|
Max
|
Description en Français
|
English Description
|
Maison du Roi à Cheval
|
0
|
24
|
Cavalerie, Très lourds, 2 Pistolets à pierre, Latte, Vétérans,
Enthousiastes
|
Cavalry, Very Heavy, 2 Flint pistols, Straight Sabre, Veteran, Enthousiasts
|
Passer en Mousquetaires
|
0
|
10
|
Infanterie montée , Mousquet à pierre, Baïonnettes, Vétérans,
Fanatiques
|
Order Mounted Infantry, Flintlocks, Bayonet, Veteran, Fanatics
|
Gendarmerie
|
0
|
10
|
Cavalerie, Très lourds, ,, Latte, Vétérans,
|
Cavalry, Very Heavy, ,, Straight Sabre, Veteran,
|
Chevaux-legers et Cavaliers
|
6
|
80
|
Cavalerie, Lourds, 2 Pistolets à pierre, Latte,
|
Cavalry, Heavy, 2 Flint pistols, Straight Sabre,
|
Carabiniers
|
0
|
10
|
Cavalerie, Lourds, Carabine rayée à silex, Latte,
|
Cavalry, Heavy, Muzzle loading flint carbine, Straight Sabre,
|
Dragons
|
5
|
30
|
Infanterie montée , Mousquet à pierre, Baïonnettes,
|
Order Mounted Infantry, Flintlocks, Bayonet,
|
Garde Royale
|
0
|
60
|
Infanterie Ordre serré, Mousquet à pierre, Baïonnettes, Vétérans,
Enthousiastes
|
Close order Infantry, Flintlocks, Bayonet, Veteran, Enthousiasts
|
Grenadiers
|
0
|
16
|
Infanterie , Mousquet à pierre, Baïonnettes, Vétérans,
|
Order Infantry, Flintlocks, Bayonet, Veteran,
|
ajouter grenades
|
0
|
16
|
Non défini, Grenade, Non armé,
|
Undefined, Grenade, Unarmed,
|
Régiments de Ligne récemment recrutés (ou alliés)
|
40
|
300
|
Infanterie Ordre serré, Mousquet à pierre, Baïonnettes, Recrues, Hésitants
|
Close order Infantry, Flintlocks, Bayonet, Raw, Wavering
|
Passés en aguerris |
0
|
300
|
Infanterie Ordre serré, Mousquet à pierre, Baïonnettes,
|
Close order Infantry, Flintlocks, Bayonet,
|
Régiments Irlandais (Wild Geese)
|
0
|
40
|
Infanterie Ordre serré, Mousquet à pierre, Baïonnettes, Fanatiques
|
Close order Infantry, Flintlocks, Bayonet, Fanatics
|
Artillerie
|
0
|
30
|
Servant d'artillerie à pied , Canon moins 4 livres, Non armé,
|
Foot Artilery crew, Under 4pnd Gun, Unarmed,
|
passer en canons moyens
|
0
|
20
|
Servant d'artillerie à pied , Canon de 8 à 11 livres, Non armé,
|
Foot Artilery crew, 8 to 11 Pnd Gun, Unarmed,
|
Caractéristiques en CLASH ! L'autre Jeu d'Histoire
Troupe
|
Min
|
Max
|
Type
|
Ord
|
Cui
|
Bou
|
Vies
|
Act
|
Red
|
Piv
|
Ent
|
Mor
|
Arme de Tir
|
Port
|
Fact
|
T/Tour
|
T/Fig
|
Notes Tir
|
Arme de mêlée
|
Fac
|
RS
|
C/Fig
|
Notes C&C
|
Spécial
|
Maison du Roi à Cheval
|
0
|
24
|
MCM
|
OM
|
2
|
0
|
1
|
3
|
3
|
3
|
V
|
E
|
2 Pistolets à pierre
|
1
|
5
|
1
|
2
|
1/tr/arme ; 2 tir/fig si tirés ensembles - Ignore armure
|
Latte
|
4
|
0
|
1
|
|
/ /
|
Passer en Mousquetaires
|
0
|
10
|
ICM
|
OM
|
0
|
0
|
1
|
3
|
3
|
3
|
V
|
F
|
Mousquet à pierre
|
4
|
5
|
2
|
1
|
Ignore armure
|
Baïonnettes
|
5
|
1
|
1
|
|
/ /
|
Gendarmerie
|
0
|
10
|
MCM
|
OM
|
2
|
0
|
1
|
3
|
3
|
3
|
V
|
M
|
Non Tireur
|
0
|
0
|
0
|
0
|
|
Latte
|
4
|
0
|
1
|
|
/ /
|
Chevaux-legers et Cavaliers
|
6
|
80
|
MCM
|
OM
|
1
|
0
|
1
|
4
|
4
|
2
|
N
|
M
|
2 Pistolets à pierre
|
1
|
5
|
1
|
2
|
1/tr/arme ; 2 tir/fig si tirés ensembles - Ignore armure
|
Latte
|
4
|
0
|
1
|
|
/ /
|
Carabiniers
|
0
|
10
|
MCM
|
OM
|
1
|
0
|
1
|
4
|
4
|
2
|
N
|
M
|
Carabine rayée à silex (MLR)
|
4
|
4
|
1
|
1
|
Ignore armure
|
Latte
|
4
|
0
|
1
|
|
/ /
|
Dragons
|
5
|
30
|
ICM
|
OM
|
0
|
0
|
1
|
3
|
3
|
3
|
N
|
M
|
Mousquet à pierre
|
4
|
5
|
2
|
1
|
Ignore armure
|
Baïonnettes
|
5
|
1
|
1
|
|
/ /
|
Garde Royale
|
0
|
60
|
IPS
|
OS
|
0
|
0
|
1
|
2
|
3
|
3
|
V
|
E
|
Mousquet à pierre
|
4
|
5
|
2
|
1
|
Ignore armure
|
Baïonnettes
|
5
|
1
|
1
|
|
/ /
|
Grenadiers
|
0
|
16
|
IPM
|
OM
|
0
|
0
|
1
|
2
|
3
|
3
|
V
|
M
|
Mousquet à pierre
|
4
|
5
|
2
|
1
|
Ignore armure
|
Baïonnettes
|
5
|
1
|
1
|
|
/ /
|
ajouter grenades
|
0
|
16
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
Grenade
|
1
|
4
|
2
|
1
|
Figurine visée plus voisines div/2
|
-
|
-
|
-
|
-
|
|
/ /
|
Régiments de Ligne récemment recrutés (ou alliés)
|
40
|
300
|
IPS
|
OS
|
0
|
0
|
1
|
2
|
3
|
3
|
R
|
H
|
Mousquet à pierre
|
4
|
5
|
2
|
1
|
Ignore armure
|
Baïonnettes
|
5
|
1
|
1
|
|
/ /
|
Passés en aguerris |
0
|
300
|
IPS
|
OS
|
0
|
0
|
1
|
2
|
3
|
3
|
N
|
M
|
Mousquet à pierre
|
4
|
5
|
2
|
1
|
Ignore armure
|
Baïonnettes
|
5
|
1
|
1
|
|
/ /
|
Régiments Irlandais (Wild Geese)
|
0
|
40
|
IPS
|
OS
|
0
|
0
|
1
|
2
|
3
|
3
|
N
|
F
|
Mousquet à pierre
|
4
|
5
|
2
|
1
|
Ignore armure
|
Baïonnettes
|
5
|
1
|
1
|
|
/ /
|
Artillerie
|
0
|
30
|
SAP
|
OM
|
0
|
0
|
1
|
2
|
1
|
5
|
N
|
M
|
Canon moins 4 livres
|
6
|
5
|
2
|
2
|
Ignore armure
|
Non armé
|
0
|
0
|
1
|
|
/ /
|
passer en canons moyens
|
0
|
20
|
SAP
|
OM
|
0
|
0
|
1
|
2
|
1
|
5
|
N
|
M
|
Canon de 8 à 11 livres
|
10
|
4
|
1
|
2
|
Ignore armure
|
Non armé
|
0
|
0
|
1
|
|
/ /
|
Les
chiffres Minima et Maxima sont des indications pour vous aider à composer des armées "typiques".
Ils ne sont en rien obligatoires. Les minima donnés, permettant de longues parties d'une soirée entière.
Pour des parties plus courtes, n'hésitez pas à les diviser.
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