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CLASH ! L'autre Jeu d'Histoire
- Les Armées du XIXe Siècle
-
NAFR12 - La Monarchie de Juillet (9 août 1830 - 24 février 1848)
La monarchie de Juillet commence le 9 août 1830 quand Louis-Philippe prête
serment à la Charte et est intronisé « roi des Français ». Dans l'armée,
Bourmont, resté fidèle à Charles X, est remplacé à Alger par Clauzelet on remplace
les généraux commandant les régions militaires. Le maréchal Soult, nommé ministre
de la Guerre depuis le 17 novembre, va réorganiser sans tarder l'armée de ligne en accroissant les
effectifs et fait adopter la loi du 9 mars 1831 créant la Légion étrangère. La loi
du 22 mars 1831 organise la Garde nationale.
Le régime doit faire face à des insurrections armées : révolte des canuts de
Lyon (21 novembre 1831), rapidement matée par le maréchal Soult accompagné du duc d'Orléans ;
sédition de Grenoble (11 mars 1832) ; tentative avortée de la duchesse de Berry de soulever
la Provence et la Vendée (printemps 1832) et surtout une insurrection de Paris marquée par le « massacre
de la rue Transnonain » (14 avril 1834), ce qui permet de voter les crédits pour entretenir une
armée de 360 000 hommes.
A l'extérieur, hors du Maghreb, la France intervient en Belgique en 1832, le maréchal
Gérard, à la tête d'une armée de 70 000 hommes, prêtant main-forte à
la jeune monarchie belge pour repousser une agression hollandaise et, notamment, reprendre la citadelle d'Anvers,
qui capitule le 23 décembre 1832. Lors de la Première Guerre Carliste en Espagne, la France mène
en 1834-35 une politique de non-intervention , même si Louis-Philippe cède à l'Espagne
en août 1835 la Légion étrangère qui devient officiellement une partie de l'armée
espagnole. Au printemps 1836, une légion de volontaires est préparée à Pau mais n'intervient
pas. La guerre prend
fin par la convention d'Ognate (29 août 1839) par laquelle les carlistes reconnaissent leur défaite.
Le 8 octobre 1840, une note française met fin au conflit entre Méhémet Ali d'Égypte
et le Sultan ottoman, le premier renonçant à la Syrie et le second conservant au premier l'Égypte,
soit la situation de 1832, en forçant le Royaume-Uni à l'accepter à contrecoeur. La question
d'Orient est réglée par la Convention des Détroits en 1841, ce qui permet un premier rapprochement
franco-britannique. L'Entente cordiale est signée entre les deux pays en 1843, lors de la rencontre entre
la reine Victoria et Louis-Philippe au château d'Eu.
Au début, la France en Algérie s'en tint à une « occupation restreinte »
mais ces zones étaient sans cesse harcelées par les tribus, soutenues par les princes de l'intérieur,
ce qui amena à des expéditions vers Tlemcen ou Constantinople. On passa même le trompeur traité
de la Tafna avec « l'émir » Abd-el-Kader, très contesté par les grands
chefs musulmans. Mais la poursuite des affrontements amena à une politique plus agressive, hors de la zone
officiellement reconnue à Abd-el-Kader mais celui-ci revendiquait tout le Maghreb. Le 13 octobre 1837, le
général Valée et le duc de Nemours prennent la ville de Constantine. En octobre 1839, le duc
d'Orléans réussit à passer de Constantine à Alger par le défilé des Bibans
dit des Portes de Fer. Alors Abd-el-Kader tomba le masque et se lança dans le jihâd et la guérilla.
Le général Bugeaud, successeur de Valée, prit l'offensive. En mai 1841, il frappa au cœur
de l'émirat en prenant Mascara. Le 16 mai 1843, le duc d'Aumale et le général Youssouf s'emparèrent
de la Smala. Le 11 novembre 1843, l'émir perdait ses dernières troupes et trouvait asile auprès
de son beau-père, le sultan du Maroc Abd al-Rahmn qui entra en guerre pour annexer Tlemcen et Oran. L'escadre
du prince de Joinville bombarda Tanger et s'empara de Mogador, tandis que le général Bugeaud remportait
la victoire d'Isly (14 août 1844). Le traité de Tanger, conclu le 10 septembre 1844, fermait le territoire
marocain à l'émir. Abd el-Kader allait poursuivre la guérilla pendant trois ans, avant de
se rendre au général Lamoricière le 23 décembre 1847 à Sidi-Brahim.
A l'intérieur, l'appogée du régime est atteint par le transfert des cendres de Napoléon
à bord de La Belle Poule, le 15 octobre 1840, mais la crise sociale de 1846, provoquée par une très
mauvaise récolte, entraîne une crise économique majeure et des émeutes en 1847. Le 22
février 1848, suite à l'interdiction d'un grand banquet républicain et des mouvements populaires
qui suivent, le roi abdique en faveur de son petit-fils Philippe d'Orléans, mais la IIe République
est proclamée le 24 février devant la colonne de la Bastille.
Les troupes particulières de l'Armée d'Afrique
Zouaves
Le « zouave » vient de l'arabe algérien
Zwawa ou Zouaouas, désignant une confédération de tribus kabyles du nord du Djurdjura, qui
fournissaient des soldats aux Ottomans de la régence d'Alger. Le 15 août 1830, le Comte de Bourmont
recrute 500 zouaves à partir de l'Armée Ottomane. Sommé de renvoyé un maximum de troupes
en métropole au plus vite, son successeur, le général Clauzel, décide d'augmenter le
recrutement local. Il crée le 1er octobre 1830 deux bataillons de Zouaves formant corps, de 8 compagnies
de 100 hommes.
Au début, la troupe et une partie des gradés devaient être indigènes tandis que l'état-major
du bataillon, les capitaines, les lieutenants, les sergents-majors, les fourriers, et la moitié des sergents
et des caporaux devaient être Français. Parmi les premiers capitaines, on trouve Duvivier et de La
Moricière. 46% des premiers engagés ayant déserté en 15 mois, le commandement, qui
voulait conserver les deux bataillons, fut obligé d'y introduire un plus grand nombre de Français.
Le 7 mars 1833, on doit réduire les Zouaves à un bataillon de dix compagnies, dont 2 compagnies entièrement
françaises. La proportion d'indigènes baissa régulièrement mais, dès 1835, un
deuxième bataillon est levé. Le 3e bataillon créé à Tlemcen le 10 mars 1837
ne comptait que six Arabes à son effectif.
Suite aux menaces d'Abd-el-Kader, le recrutement indigène se tarit brusquement et ce troisième
bataillon fut dissout le 21 décembre 1838. Lorsque le 8 septembre 1841, le corps des Zouaves devint le « régiment
de Zouaves, employé en Algérie, autorisé à recevoir des indigènes »,
il restait à peine assez d'indigènes pour former les huitièmes compagnies de chaque bataillon.
On incorpora des volontaires européens de toutes origines, rapidement fondus dans le moule. Ces soldats
européens se distinguaient nettement des soldats qui servaient dans l'infanterie par leur lien au service,
par leur origine géographique et par leur instruction ce qui, avec la qualité de leurs officiers
et la tenue orientale, contribuèrent à créer un esprit de corps très vivant.
Les Zouaves étaient devenus très célèbres depuis la prise de Constantine. Le premier
régiment est placé sous le commandement du colonel de La Moricière. Ils s'illustrent encore
à la bataille de l'Ouarsenis (1842), à celle d'Isly (1844), et prennent Zaatcha en 1849. Le 13 février
1852, Louis-Napoléon signe un décret portant à trois le nombre de régiments de zouaves,
chacun des trois bataillons existants formant le noyau des nouveaux régiments ainsi créés.
Tirailleurs algériens (Turcos)
Un premier bataillon de Tirailleurs Indigènes est créé
en 1838 à Oran avec des koulouglis. Il ouvre la voie à trois bataillons de Tirailleurs Indigènes,
créés le 7 décembre 1841 pour accueillir les indigènes au moment où les Zouaves
deviennent un corps à recrutement exclusivement français. Au début les bataillons sont indépendants
et participent à la plupart des opérations de conquête et de pacification en Algérie
notamment à Constantine et Laghouat. En 1856, trois régiments à trois bataillons de six compagnies
sont créés, un dans chaque département d'Algérie.
Légion étrangère
La Légion étrangère est créée
par ordonnance du 9 mars 1831 par le roi des Français Louis-Philippe, à l'instigation du maréchal
Soult, ministre de la Guerre. Cette troupe est destinée à combattre seulement en dehors du territoire
continental du Royaume. Elle rassemble au début des soldats venant de différents corps étrangers
supprimés, les gardes suisses, , le régiment suisse de la garde royale et le régiment Hohenlohe
issu du 2e régiment étranger des armées napoléoniennes.
Au début, la Légion comprend 7 bataillons répartis par les langues : le 1er (suisse)
avec les anciens des gardes suisses et du régiment Hohenlohe, 2e et 3e (Suisses et Allemands), 4e (Espagnols
et Portugais), 5e (Sardes et Italiens), 6e (Belges et Hollandais) et 7e (Polonais). En 1834, les Espagnols du 4e
bataillon sont démobilisés et autorisés à rentrer dans leur pays, en proie à
la guerre civile. Louis-Philippe cède à l'Espagne le 28 juin 1835 cette première Légion
étrangère qui devient officiellement une partie de l'armée espagnole. Le 16 décembre
1839, Louis-Philippe décide de la création d'une nouvelle Légion afin de renforcer les troupes
françaises en Algérie. Trois bataillons sont alors créés puis deux autres en 1840 avec
les survivants de l'aventure espagnole. Ces 5 bataillons forment alors 2 régiments étrangers.
En 1832, la Légion est employée à l'assèchement des marais dans la région
d'Alger. Les 1er et 3e bataillons s'emparent d'une redoute à Maison-Carrée pour sécuriser
la zone. Le 7e bataillon prend alors le numéro 4. En 1849, le 1er bataillon participe activement au siège
et à la prise de Zaatcha.
Bataillons d'infanterie légère d'Afrique
L'infanterie légère d'Afrique est créée
en juin 1832 pour reprendre dans l'Armée les militaires condamnés ayant purgé leur peine et
les « fortes têtes ». Elle n'est donc pas une formation disciplinaire mais une formation
d'épreuve.A partir de 1836, ces unités accueillent également des conscrits frappés
par une condamnation de droit commun, ou connus pour leurs activités illégales.
Les Bataillons d'infanterie légère d'Afrique (BILA) forment corps. Les 2 premiers BILA sont créés
le 3 juin 1832, le 3ème le 20 juin 1833. Le 1er Bataillon participe en février 1840 à la défense
de la redoute de Mazagran, assiégée par les troupes de Ben Thami, et le 24 juillet 1843 à
la bataille de l'Oued el Hammam. Le 3ème bataillon participe aux opérations de la Tafna, puis au
second siège de Constantine (1837), à la bataille de Zaatcha le 26 novembre 1849 et à celle
de Laghouat, le 4 décembre 1852.
Chasseurs d'Afrique
Le 17 novembre 1831 furent créés deux régiments
de chasseurs d'Afrique à partir des trois escadrons de chasseurs à cheval débarqués
en 1830 et de volontaires provenant de la cavalerie métropolitaine. Au début, ils reçurent
aussi des volontaires indigènes notamment des chasseurs algériens mais rapidement ils ne comptèrent
plus que des européens. Le 3ème régiment fut créé en 1832 et le 4ème
en 1839.
Spahis
Les spahis, du turc « sipâhi »
signifiant « soldat-cavalier », étaient les cavaliers féodaux de l'Empire Ottoman,
qui au début servaient en échange d'un fief. Pour la Régence, c'étaient un corps de
cavalerie régulier sur le modèle ottoman, des cavaliers fournis par les tribus. A la conquète
française, ils postulent pour servir sous la conduite d'un aventurier italo-corse ancien esclave à
Tunis, Joseph Vantini dit Youssouf, qui finira général français. Corps de cavaliers indigènes,
il ne manquera jamais de volontaires.
En 1831, des escadrons de « chasseurs-spahis » ou spahis irréguliers sont adjoints
à chaque régiment de chasseur d'Afrique. Le 10 septembre 1834 sont créés 4 escadrons
de spahis réguliers, devenus 14 escadrons l'année suivante. Le 7 décembre 1841 ils forment
un unique corps de cavaliers indigènes. L'ordonnance du 2 juillet 1845 crée trois régiments
de spahis : le 1er régiment de spahis algériens à Alger, le 2ème à Oran,
et le 3ème à Bône/Constantine. Leur premier chef est le « colonel-agha »
Guillaume-Stanislas Marey-Monge. Leurs principaux faits d'armes sont les 2 expéditions de Constantine en
1836 et en 1837, celle des Portes de Fer en 1839, la prise de la smala d'Abd el-Kader en 1843, la bataille d'Isly
en 1844, les Aurès en 1846, la prise de Zaatcha en 1849 et celle de Laghouat en 1852 et ainsi de suite.
Petites unités
Quelques unités ont eu une existence provisoire voire éphémère.
Zouaves à cheval
Trois escadrons de zouaves à cheval sont formés fin
1830 mais intégrés dès 1831 aux chasseurs d'Afrique.
Compagnies auxiliaires des « volontaires parisiens »
Après le succès de la Révolution de juillet,
le gouvernement avait envoyé en Afrique des manifestants qui s'étaient spontanément regroupés
en groupes pseudo militaires qu'on désignait sous le nom de « Volontaires parisiens ».
A Alger, ces hommes furent incorporés dans des compagnies auxiliaires. Sans autre passé militaire
que leur participation aux journées de juillet, une partie se retrouvèrent incorporés dans
les Zouaves et le reste formèrent le 67e régiment d'infanterie.
Bataillon de Tirailleurs d'Afrique
Le bataillon de Tirailleurs d'Afrique a été formé
à Pau en 1836 avec des Français volontaires pour servir dans la Légion étrangère
en Espagne que le gouvernement français avait renoncé à y envoyer. Il fut incorporé
dans les Zouaves le 8 septembre 1841, quand le corps des Zouaves devint le « régiment de Zouaves ».
Chasseurs algériens
Cette unité de cavalerie indigène fut formée
en octobre 1830 par le chef d'escadron Marey-Monge. Le 17 novembre 1831 elle fut incorporée dans les régiments
de chasseurs d'Afrique créés le même jour.
Compagnies méharistes
Des expérimentations d'unité mobiles montées
sur dromadaires furent expérimentées entre 1843 et 1848 mais les nécessités opérationnelles
ne furent pas pérennisées alors.
Compagnies de « Turcs auxiliaires »
Ces compagnies ont été créées à
Oran, Mostaganem, Bône et Constantine par les beys ralliés après avoir été vaincus.
Composées surtout de koulouglis (fils de turcs et d'indigènes), elles combattent à la turque.
Elles disparaissent peu à peu, incluses dans les tirailleurs algériens.
Composition
La Garde Royale est dissoute dès 1830.
Infanterie
Infanterie de ligne
Infanterie légère
-
40 bataillons d'infanterie légère pour 20 régiments
-
Régiment de Hohenlohe (étranger) supprimé en
1930, devenu 21ème léger en 1831. 4 autres régiments créés en 1840.
-
Bataillon de tirailleurs de Vincennes créé en 1839
(carabine rayée). Devenu 1er bataillon de chasseurs en 1840 et rejoint par 10 autres bataillons. Rebaptisés
« chasseurs d'Orléans » de 1842 à 1848.
-
Bataillons de marins dits « des équipages de ligne »
-
Garde nationale au service ordinaire (les plus riches)
-
Garde nationale au service de réserve (quasiment jamais réunis)
-
Bataillon de la Garde nationale d'Alger, créé en 1831.
-
Garde nationale de Paris – une centaine de bataillons
Cavalerie
Cavalerie lourde
Cavalerie légère
-
20 régiments de chasseurs à cheval, devenus 14 en 1831,
12 en 1836, 13 en 1840
-
6 régiments de hussards, devenus 9 en 1840
-
Régiment des Lanciers d'Orléans en 1830, passés
à 6 régiments en 1831 (les Lanciers d'Orléans étant le 6ème) puis 8 en 1836.
Artillerie
-
11 régiments d'artillerie à 18 compagnies de campagne
de 6 et 8 livres et 2 compagnies de réserve de 12 livres, 13 régiments en 1833.
-
Quatre régiments d'artillerie à cheval à 12
compagnies de campagne de 6 livres, 6 régiments en 1840.
-
Quelques batteries d'artillerie de montagne, utilisées notamment
dans les expéditions et en Algérie.
-
Quelques batteries d'artillerie à fusée et de fusils
de remparts, utilisées notamment pour les débarquements.
Troupes de l'Armée
d'Afrique
Infanterie
-
Zouaves : 2 bataillons le 1er octobre 1830, 1 le 7 mars 1833,
2 en 1835, 3 le 10 mars 1837, 2 le 21 décembre 1838, 3 le 8 septembre 1841.
-
Tirailleurs Indigènes : 1 bataillon en 1838 à
Oran, inclus le 7 décembre 1841 dans les Tirailleurs algériens
-
Tirailleurs algériens : 3 bataillons le 7 décembre
1841
-
1ère Légion étrangère le 9 mars 1831 :
7 bataillons, 6 en 1834, cédée à l'Espagne le 28 juin 1835
-
2ème Légion étrangère le 16 décembre
1839 : 3 bataillons, 5 en 1840 puis 6 le 30 décembre 1840 en 2 régiments étrangers à
3 bataillons.
-
Bataillons d'infanterie légère d'Afrique (BILA) :
2 le 3 juin 1832, 3 le 20 juin 1833.
-
Bataillon de Tirailleurs d'Afrique formé en 1836, incorporé
dans les Zouaves le 8 septembre 1841.
-
Compagnies de « Turcs auxiliaires » réunies,
de 1830 à 1841.
-
Compagnies auxiliaires des « volontaires parisiens »
réunies, de 1830 à 1835.
-
Compagnies méharistes réunies, de 1843 à 1848.
Cavalerie
-
Chasseurs d'Afrique : 2 régiments le 17 novembre 1831,
3 en 1832 et 4 en 1839.
-
Spahis réguliers : un groupement (4 escadrons) le 10
septembre 1834, 3 groupements (14 escadrons) en 1835, devenus un corps le 7 décembre 1841 et 3 régiments
le 2 juillet 1845.
-
Spahis irréguliers : 2 groupements en 1831, 3 en 1832,
plusieurs selon les besoins après 1834.
-
Zouaves à cheval formés fin 1830 supprimés le
17 novembre 1831.
-
Chasseurs algériens formés en octobre 1830 supprimés
le 17 novembre 1831.
Nom |
Français |
English |
Bataillons de ligne |
Infanterie Ordre serré, Fusil à pierre, Baïonnettes, |
Close order Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, |
Bataillons d'infanterie légère |
Infanterie Ordre dispersé, Fusil à pierre, Baïonnettes, |
Open order Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, |
Régiment de Hohenlohe (étranger) |
Infanterie Ordre dispersé, Fusil à pierre, Baïonnettes, |
Open order Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, |
Bataillon de tirailleurs de Vincennes |
Infanterie Ordre dispersé, Fusil rayé à silex, Baïonnettes, |
Open order Infantry, Muzzle loading rifle, Bayonet, |
Bataillons de chasseurs , « chasseurs d'Orléans » de 1842 à 1848. |
Infanterie Ordre dispersé, Fusil rayé à silex, Baïonnettes, |
Open order Infantry, Muzzle loading rifle, Bayonet, |
Bataillon de marins des équipages de ligne |
Infanterie Ordre dispersé, Fusil à pierre, Baïonnettes, |
Open order Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, |
Garde nationale au service ordinaire |
Infanterie Ordre serré, Fusil à pierre, Baïonnettes, Recrues, |
Close order Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, Raw, |
Garde nationale au service de réserve |
Infanterie Ordre serré, Fusil à pierre, Baïonnettes, Recrues, Hésitants |
Close order Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, Raw, Wavering |
Garde nationale de Paris |
Infanterie Ordre serré, Fusil à pierre, Baïonnettes, Recrues, |
Close order Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, Raw, |
Régiments de carabiniers |
Cavalerie, Lourds, Pistolet à pierre, Latte, |
Cavalry, Heavy, Flint Pistol, Straight Sabre, |
Régiments de cuirassiers |
Cavalerie, Lourds, Pistolet à pierre, Latte, |
Cavalry, Heavy, Flint Pistol, Straight Sabre, |
Régiments de dragons |
Cavalerie, Pistolet à pierre, Latte, |
Cavalry, Flint Pistol, Straight Sabre, |
Chasseurs à cheval |
Cavalerie Ordre dispersé, Mousqueton à silex, Sabre, |
Open order Cavalry, Flint cavalry gun, Sabre, |
Hussards |
Cavalerie Ordre dispersé, Mousqueton à silex, Sabre, |
Open order Cavalry, Flint cavalry gun, Sabre, |
Régiment des Lanciers d'Orléans |
Cavalerie Ordre dispersé, Mousqueton à silex, Lance courte, |
Open order Cavalry, Flint cavalry gun, Spear, |
Lanciers |
Cavalerie Ordre dispersé, Mousqueton à silex, Lance courte, |
Open order Cavalry, Flint cavalry gun, Spear, |
Artillerie de 6 livres |
Servant d'artillerie , Canon de 8 à 11 livres, Baïonnettes, |
Foot Artilery crew, 8 to 11 Pnd Gun, Bayonet, |
Artillerie de 8 livres |
Servant d'artillerie , Canon de 8 à 11 livres, Baïonnettes, |
Foot Artilery crew, 8 to 11 Pnd Gun, Bayonet, |
Artillerie compagnies de réserve de 12 livres |
Servant d'artillerie , Canon 12 à 17 livres, Baïonnettes, |
Foot Artilery crew, 12 to 17 Pnd Gun, Bayonet, |
Artillerie à cheval compagnies de 6 livres |
Servant d'artillerie volante , Canon de 8 à 11 livres, Baïonnettes, |
Horse Artilery crew, 8 to 11 Pnd Gun, Bayonet, |
Batterie de montagne de 6 livres court |
Servant d'artillerie , Canon 4 à 7 livres, Baïonnettes, |
Foot Artilery crew, 4 to 7 Pnd Gun, Bayonet, |
Batterie à fusées de 8 livres |
Servant d'artillerie , Fusées Congrève, Baïonnettes, |
Foot Artilery crew, Congreve rockets, Bayonet, |
Batterie de fusils de rempart |
Servant d'artillerie , Canon 4 à 7 livres, Baïonnettes, Hésitants |
Foot Artilery crew, 4 to 7 Pnd Gun, Bayonet, Wavering |
Armée d'Afrique |
|
|
Zouaves |
Infanterie Ordre dispersé, Fusil à pierre, Baïonnettes, Enragés |
Open order Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, Angry |
Tirailleurs Indigènes |
Infanterie Ordre dispersé, Fusil à pierre, Baïonnettes, Enragés |
Open order Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, Angry |
Tirailleurs algériens |
Infanterie Ordre dispersé, Fusil à pierre, Baïonnettes, Enragés |
Open order Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, Angry |
1ère Légion étrangère |
Infanterie Ordre dispersé, Fusil à pierre, Baïonnettes, Enragés |
Open order Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, Angry |
2ème Légion étrangère |
Infanterie Ordre dispersé, Fusil à pierre, Baïonnettes, Enragés |
Open order Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, Angry |
Bataillons d'infanterie légère d'Afrique (BILA) |
Infanterie Ordre dispersé, Fusil à pierre, Baïonnettes, Enthousiastes |
Open order Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, Enthousiasts |
Bataillon de Tirailleurs d'Afrique |
Infanterie Ordre dispersé, Fusil à pierre, Baïonnettes, |
Open order Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, |
Compagnies auxiliaires des « volontaires parisiens » réunies |
Infanterie Ordre dispersé, Fusil à pierre, Baïonnettes, |
Open order Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, |
Compagnies méharistes réunies |
Infanterie méhariste Ordre dispersé, Fusil à pierre, Baïonnettes, |
Open order Meharist Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, |
Bataillon de la Garde nationale d'Alger |
Infanterie Ordre serré, Fusil à pierre, Baïonnettes, Recrues, |
Close order Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, Raw, |
Chasseurs d'Afrique |
Cavalerie Ordre dispersé, Mousqueton à silex, Sabre, |
Open order Cavalry, Flint cavalry gun, Sabre, |
Spahis réguliers |
Cavalerie Ordre dispersé, Mousqueton à silex, Sabre, |
Open order Cavalry, Flint cavalry gun, Sabre, |
Spahis irréguliers |
Cavalerie Ordre dispersé, Mousqueton à silex, Sabre, Hésitants |
Open order Cavalry, Flint cavalry gun, Sabre, Wavering |
Zouaves à cheval |
Cavalerie Ordre dispersé, Mousqueton à silex, Sabre, Enthousiastes |
Open order Cavalry, Flint cavalry gun, Sabre, Enthousiasts |
Chasseurs algériens |
Cavalerie Ordre dispersé, Mousqueton à silex, Sabre, |
Open order Cavalry, Flint cavalry gun, Sabre, |
Alliés indigènes |
|
|
Fantassins des tribus alliés |
Infanterie Ordre dispersé, Fusil à pierre, Baïonnettes, |
Open order Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, |
Fantassins montés des tribus alliés |
Infanterie montée Ordre dispersé, Fusil à pierre, Baïonnettes, |
Open order Mounted Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, |
Fantassins chameliers des tribus alliés |
Infanterie méhariste Ordre dispersé, Fusil à pierre, Baïonnettes, |
Open order Meharist Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, |
Irréguliers alliés |
Infanterie Ordre dispersé, Fusil à pierre, Baïonnettes, Hésitants |
Open order Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, Wavering |
Compagnies de « Turcs auxiliaires » réunies |
Infanterie Ordre dispersé, Fusil à pierre, Baïonnettes, |
Open order Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, |
Garnison urbaine alliés |
Infanterie Ordre serré, Fusil à pierre, Baïonnettes, Recrues, |
Close order Infantry, Smooth Bore mousquet, Bayonet, Raw, |
Cavalerie tribale alliés |
Cavalerie Ordre dispersé, Mousqueton à silex, Sabre, Enragés |
Open order Cavalry, Flint cavalry gun, Sabre, Angry |
Artillerie alliés |
Servant d'artillerie , Canon de 8 à 11 livres, Baïonnettes, Recrues, |
Foot Artilery crew, 8 to 11 Pnd Gun, Bayonet, Raw, |
Troupe |
m |
Max |
Type |
Ord |
C |
B |
V |
A |
R |
P |
E |
M |
Arme Tir |
P |
F |
T/T |
T/F |
Notes Tir |
Arme de mêlée |
F |
RS |
C/F |
Notes C&C |
Spécial |
Bataillons de ligne |
4 |
120 |
Infanterie |
OS |
0 |
0 |
1 |
2 |
4 |
2 |
N |
N |
Fusil à pierre |
4 |
5 |
2 |
1 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
|
Bataillons d'infanterie légère |
1 |
50 |
Infanterie |
OD |
0 |
0 |
1 |
3 |
5 |
1 |
N |
N |
Fusil à pierre |
4 |
5 |
2 |
1 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
20 régiments en 1930, 21 en 1831, 25 en 1840. |
Régiment de Hohenlohe (étranger) |
0 |
2 |
Infanterie |
OD |
0 |
0 |
1 |
3 |
5 |
1 |
N |
N |
Fusil à pierre |
4 |
5 |
2 |
1 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
devenu 21ème léger en 1831 |
Bataillon de tirailleurs de Vincennes |
0 |
1 |
Infanterie |
OD |
0 |
0 |
1 |
3 |
5 |
1 |
N |
N |
Fusil rayé à silex |
5 |
4 |
1 |
1 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
(carabine rayée) 1839 à 184 |
Bataillons de chasseurs , « chasseurs d'Orléans » de 1842 à 1848. |
0 |
11 |
Infanterie |
OD |
0 |
0 |
1 |
3 |
5 |
1 |
N |
N |
Fusil rayé à silex |
5 |
4 |
1 |
1 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
(carabine rayée) |
Bataillon de marins des équipages de ligne |
0 |
3 |
Infanterie |
OD |
0 |
0 |
1 |
3 |
5 |
1 |
N |
N |
Fusil à pierre |
4 |
5 |
2 |
1 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
|
Garde nationale au service ordinaire |
0 |
100 |
Infanterie |
OS |
0 |
0 |
1 |
2 |
3 |
3 |
R |
N |
Fusil à pierre |
4 |
5 |
2 |
1 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
|
Garde nationale au service de réserve |
0 |
200 |
Infanterie |
OS |
0 |
0 |
1 |
2 |
3 |
3 |
R |
H |
Fusil à pierre |
4 |
5 |
2 |
1 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
|
Garde nationale de Paris |
0 |
100 |
Infanterie |
OS |
0 |
0 |
1 |
2 |
3 |
3 |
R |
N |
Fusil à pierre |
4 |
5 |
2 |
1 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
|
Régiments de carabiniers |
0 |
2 |
Cavalerie |
OM |
1 |
0 |
1 |
4 |
5 |
1 |
N |
N |
Pistolet à pierre |
1 |
5 |
1 |
1 |
Ignore armure |
Latte de Cavalerie |
4 |
0 |
1 |
|
|
Régiments de cuirassiers |
0 |
10 |
Cavalerie |
OM |
1 |
0 |
1 |
4 |
5 |
1 |
N |
N |
Pistolet à pierre |
1 |
5 |
1 |
1 |
Ignore armure |
Latte de Cavalerie |
4 |
0 |
1 |
|
|
Régiments de dragons |
0 |
12 |
Cavalerie |
OM |
0 |
0 |
1 |
4 |
6 |
0 |
N |
N |
Pistolet à pierre |
1 |
5 |
1 |
1 |
Ignore armure |
Latte de Cavalerie |
4 |
0 |
1 |
|
|
Chasseurs à cheval |
1 |
20 |
Cavalerie |
OD |
0 |
0 |
1 |
5 |
6
|
0
|
N |
N |
Mousqueton à silex |
3 |
5 |
2 |
1 |
Tir monté= -1 tir/tour - Ignore armure |
Sabre de cavalerie |
5 |
0 |
1 |
|
20 régiments, 14 en 1831, 12 en 1836, 13 en 184 |
Hussards |
0 |
9 |
Cavalerie |
OD |
0 |
0 |
1 |
5 |
6
|
0
|
N |
N |
Mousqueton à silex |
3 |
5 |
2 |
1 |
Tir monté= -1 tir/tour - Ignore armure |
Sabre de cavalerie |
5 |
0 |
1 |
|
6 régiments, 9 en 184 |
Régiment des Lanciers d'Orléans |
0 |
1 |
Cavalerie |
OD |
0 |
0 |
1 |
5 |
6
|
0
|
N |
N |
Mousqueton à silex |
3 |
5 |
2 |
1 |
Tir monté= -1 tir/tour - Ignore armure |
Lance courte |
4 |
0 |
1 |
|
1830 à 1831 |
Lanciers |
0 |
8 |
Cavalerie |
OD |
0 |
0 |
1 |
5 |
6
|
0
|
N |
N |
Mousqueton à silex |
3 |
5 |
2 |
1 |
Tir monté= -1 tir/tour - Ignore armure |
Lance courte |
4 |
0 |
1 |
|
6 régiments, 8 en 1836. |
Artillerie de 6 livres |
1 |
99 |
Servant d'artillerie |
OM |
0 |
0 |
1 |
2 |
2 |
4 |
N |
N |
Canon de 8 à 11 livres |
10 |
4 |
1 |
2 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
99 compagnies, 117 en 1833 – 1 pour 4 unités de ligne |
Artillerie de 8 livres |
0 |
99 |
Servant d'artillerie |
OM |
0 |
0 |
1 |
2 |
2 |
4 |
N |
N |
Canon de 8 à 11 livres |
10 |
4 |
1 |
2 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
99 compagnies, 117 en 1833 – 1 pour 4 unités de ligne |
Artillerie compagnies de réserve de 12 livres |
0 |
22 |
Servant d'artillerie |
OM |
0 |
0 |
1 |
2 |
2 |
4 |
N |
N |
Canon 12 à 17 livres |
12 |
4 |
1 |
2 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
22 compagnies, 26 en 1833 – 1 par sous-général à la place d'une unité de
8 |
Artillerie à cheval compagnies de 6 livres |
0 |
10 |
Servant d'artillerie volante |
OM |
0 |
0 |
1 |
3 |
2 |
4 |
N |
N |
Canon de 8 à 11 livres |
10 |
4 |
1 |
2 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
48 compagnies, 72 en 1840 – 1 pour 4 unités de cavalerie |
Batterie de montagne de 6 livres court |
0 |
4 |
Servant d'artillerie |
OM |
0 |
0 |
1 |
2 |
2 |
4 |
N |
N |
Canon 4 à 7 livres |
8 |
5 |
2 |
2 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
A la place d'artillerie lourde en zone de montagne |
Batterie à fusées de 8 livres |
0 |
2 |
Servant d'artillerie |
OM |
0 |
0 |
1 |
2 |
2 |
4 |
N |
N |
Fusées Congrève |
8 |
5 |
1 |
2 |
Tir courbe - Effet incendiaire - Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
A la place d'artillerie lourde en zone de montagne |
Batterie de fusils de rempart |
0 |
2 |
Servant d'artillerie |
OM |
0 |
0 |
1 |
2 |
2 |
4 |
N |
H |
Canon 4 à 7 livres |
8 |
5 |
2 |
2 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
|
Armée d'Afrique |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Zouaves |
0 |
3 |
Infanterie |
OD |
0 |
0 |
1 |
3 |
4 |
2 |
N |
N |
Fusil à pierre |
4 |
5 |
2 |
1 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
2 bataillons 1er octobre 1830, 1 7 mars 1833, 2 en 1835, 3 10 mars 1837, 2 21 décembre 1838, 3 8 septembre
1841.Enragés |
Tirailleurs Indigènes |
0 |
1 |
Infanterie |
OD |
0 |
0 |
1 |
3 |
4 |
2 |
N |
N |
Fusil à pierre |
4 |
5 |
2 |
1 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
1838 au 7 décembre 1841Enragés |
Tirailleurs algériens |
0 |
3 |
Infanterie |
OD |
0 |
0 |
1 |
3 |
4 |
2 |
N |
N |
Fusil à pierre |
4 |
5 |
2 |
1 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
le 7 décembre 1841Enragés |
1ère Légion étrangère |
0 |
7 |
Infanterie |
OD |
0 |
0 |
1 |
3 |
4 |
2 |
N |
N |
Fusil à pierre |
4 |
5 |
2 |
1 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
7 bataillons 9 mars 1831, 6 en 1834, cédée à l'Espagne le 28 juin 1835Enragés |
2ème Légion étrangère |
0 |
6 |
Infanterie |
OD |
0 |
0 |
1 |
3 |
4 |
2 |
N |
N |
Fusil à pierre |
4 |
5 |
2 |
1 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
3 bataillons 16 décembre 1839, 5 en 1840, 6 le 30 décembre 184Enragés |
Bataillons d'infanterie légère d'Afrique (BILA) |
0 |
3 |
Infanterie |
OD |
0 |
0 |
1 |
3 |
4 |
2 |
N |
E |
Fusil à pierre |
4 |
5 |
2 |
1 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
2 le 3 juin 1832, 3 le 20 juin 1833. |
Bataillon de Tirailleurs d'Afrique |
0 |
1 |
Infanterie |
OD |
0 |
0 |
1 |
3 |
5 |
1 |
N |
N |
Fusil à pierre |
4 |
5 |
2 |
1 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
1836 au 8 septembre 1841. |
Compagnies auxiliaires des « volontaires parisiens » réunies |
0 |
1 |
Infanterie |
OD |
0 |
0 |
1 |
3 |
4 |
2 |
N |
N |
Fusil à pierre |
4 |
5 |
2 |
1 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
de 1830 à 1835. |
Compagnies méharistes réunies |
0 |
1 |
Infanterie méhariste |
OD |
0 |
0 |
1 |
4 |
5 |
1 |
N |
N |
Fusil à pierre |
4 |
5 |
2 |
1 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
de 1843 à 1848./ Effet chameaux/ |
Bataillon de la Garde nationale d'Alger |
0 |
1 |
Infanterie |
OS |
0 |
0 |
1 |
2 |
3 |
3 |
R |
N |
Fusil à pierre |
4 |
5 |
2 |
1 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
créé en 1831. |
Chasseurs d'Afrique |
0 |
4 |
Cavalerie |
OD |
0 |
0 |
1 |
5 |
6
|
0
|
N |
N |
Mousqueton à silex |
3 |
5 |
2 |
1 |
Tir monté= -1 tir/tour - Ignore armure |
Sabre de cavalerie |
5 |
0 |
1 |
|
2 régiments le 17 novembre 1831, 3 en 1832 et 4 en 1839. |
Spahis réguliers |
0 |
3 |
Cavalerie |
OD |
0 |
0 |
1 |
5 |
6
|
0
|
N |
N |
Mousqueton à silex |
3 |
5 |
2 |
1 |
Tir monté= -1 tir/tour - Ignore armure |
Sabre de cavalerie |
5 |
0 |
1 |
|
1 groupement 10 septembre 1834, 3 après 1835 |
Spahis irréguliers |
0 |
3 |
Cavalerie |
OD |
0 |
0 |
1 |
5 |
6 |
0 |
N |
H |
Mousqueton à silex |
3 |
5 |
2 |
1 |
Tir monté= -1 tir/tour - Ignore armure |
Sabre de cavalerie |
5 |
0 |
1 |
|
2 groupements en 1831, 3 en 1832 selon les besoins après 1834. |
Zouaves à cheval |
0 |
1 |
Cavalerie |
OD |
0 |
0 |
1 |
5 |
6 |
0 |
N |
E |
Mousqueton à silex |
3 |
5 |
2 |
1 |
Tir monté= -1 tir/tour - Ignore armure |
Sabre de cavalerie |
5 |
0 |
1 |
|
de fin 1830 au 17 novembre 1831. |
Chasseurs algériens |
0 |
1 |
Cavalerie |
OD |
0 |
0 |
1 |
5 |
6 |
0 |
N |
N |
Mousqueton à silex |
3 |
5 |
2 |
1 |
Tir monté= -1 tir/tour - Ignore armure |
Sabre de cavalerie |
5 |
0 |
1 |
|
Octobre 1830 au 17 novembre 1831 |
Alliés indigènes |
Fantassins des tribus alliés |
0 |
10 |
Infanterie |
OD |
0 |
0 |
1 |
3 |
4 |
2 |
N |
N |
Fusil à pierre |
4 |
5 |
2 |
1 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
|
Fantassins montés des tribus alliés |
0 |
4 |
Infanterie montée sur chevaux |
OD |
0 |
0 |
1 |
4 |
4 |
2 |
N |
N |
Fusil à pierre |
4 |
5 |
2 |
1 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
|
Fantassins chameliers des tribus alliés |
0 |
2 |
Infanterie méhariste |
OD |
0 |
0 |
1 |
4 |
4 |
2 |
N |
N |
Fusil à pierre |
4 |
5 |
2 |
1 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
Si Sahara, au lieu des précédents/ Effet chameaux/ |
Irréguliers alliés |
0 |
2 |
Infanterie |
OD |
0 |
0 |
1 |
3 |
4 |
2 |
N |
H |
Fusil à pierre |
4 |
5 |
2 |
1 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
|
Compagnies de « Turcs auxiliaires » réunies |
0 |
1 |
Infanterie |
OD |
0 |
0 |
1 |
3 |
4 |
2 |
N |
N |
Fusil à pierre |
4 |
5 |
2 |
1 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
de 1830 à 1841. |
Garnison urbaine alliés |
0 |
1 |
Infanterie |
OS |
0 |
0 |
1 |
2 |
3 |
3 |
R |
N |
Fusil à pierre |
4 |
5 |
2 |
1 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
|
Cavalerie tribale alliés |
0 |
40 |
Cavalerie |
OD |
0 |
0 |
1 |
5 |
6 |
0 |
N |
N |
Mousqueton à silex |
3 |
5 |
2 |
1 |
Tir monté= -1 tir/tour - Ignore armure |
Sabre de cavalerie |
5 |
0 |
1 |
|
Enragés |
Artillerie alliés |
0 |
1 |
Servant d'artillerie |
OM |
0 |
0 |
1 |
2 |
1 |
5 |
R |
N |
Canon de 8 à 11 livres |
10 |
4 |
1 |
2 |
Ignore armure |
Baïonnettes |
5 |
1 |
1 |
|
Si 4 unités d'infanterie alliée |
Une partie de ces volontaires formèrent le bataillon
de Tirailleurs d'Afrique, envoyé en Algérie et versé dans les zouaves.
|