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CLASH ! L'autre Jeu d'Histoire Liste 271 : Calédoniens (75 à 211 ap. JC)
Les Calédoniens, comme de nombreuses tribus celtiques en Grande-Bretagne, étaient des constructeurs de collines et des agriculteurs qui ont vaincu et ont été vaincus par les Romains à plusieurs reprises. Les Romains n'ont jamais complètement occupé la Calédonie, bien que plusieurs tentatives aient été faites. Presque toutes les informations disponibles sur les Calédoniens sont basées sur des sources principalement romaines, ce qui peut créer des biais. Peter Salway suppose que les Calédoniens auraient été des tribus Pictes parlant une langue étroitement liée au Brittonique commun, ou une branche de celui-ci, renforcés par des combattants d'autres tribus brythoniques ayant fui la Britannia romaine. Ceci est cependant contesté par le fait que, selon le livre "La Vie de Saint Columba", l'émissaire irlandais avait besoin d'un interprète pour parler au roi picte ou convertir certains individus de son royaume. La tribu calédonienne, après laquelle la Confédération calédonienne historique est dénommée, peut avoir été rejointe dans le conflit avec Rome par des tribus du centre nord de l'Écosse à cette époque, telles que les Vacomagi, Taexali et Venicones enregistrés par Ptolémée. Les Romains ont trouvé un accord avec les tribus brythoniques telles que les Votadini en tant qu'états tampons efficaces. En 83 ou 84 après JC, alors dirigé par Calgacus, la défaite des Calédoniens aux mains de Gnaeus Julius Agricola à Mons Graupius est enregistrée par Tacite. Tacite évite d'utiliser des termes tels que roi pour décrire Calgacus et il est incertain de savoir si les Calédoniens avaient des chefs uniques ou s'ils étaient plus disparates et que Calgacus n'était qu'un chef de guerre élu. Tacite enregistre les caractéristiques physiques des Calédoniens comme les cheveux roux et leurs membres longs. En 180 après JC, ils ont participé à une invasion de la Bretagne, ont franchi le mur d'Hadrien et n'ont pas été maîtrisés pendant plusieurs années, signant finalement des traités de paix avec le gouverneur Ulpius Marcellus. Cela suggère qu'ils étaient capables de conclure des accords formels à l'unisson alors qu'ils auraient supposément de nombreux chefs différents. Cependant, les historiens romains ont utilisé le mot "Caledonius" non seulement pour désigner les Caledones eux-mêmes, mais aussi pour toutes les autres tribus (à la fois pictes ou brythoniques) vivant au nord du mur d'Hadrien, et il n'est pas certain que celles-ci se soient limitées ultérieurement à des individus. groupes ou syndicats plus larges de tribus. En 197 après JC, Dion Cassius rapporte que les Calédoniens ont aidé à une nouvelle attaque sur la frontière romaine menée par les Maeatae et les Brigantes et probablement inspirée par le retrait des garnisons sur le mur d'Hadrien ordonné par Clodius Albinus. Il dit que les Calédoniens ont rompu les traités qu'ils avaient conclus avec Marcellus quelques années plus tôt (Dio lxxvii, 12). Le gouverneur qui est arrivé pour superviser la reprise du contrôle sur Britannia après la défaite d'Albinus, Virius Lupus, a été obligé d'acheter la paix aux Maeatae plutôt que de les combattre. Les Calédoniens sont ensuite mentionnés en 209, quand on dit qu'ils se sont rendus à l'empereur Septime Sévère après qu'il ait personnellement mené une expédition militaire au nord du mur d'Hadrien, à la recherche d'une glorieuse victoire militaire. Hérodien et Dion n'ont écrit qu'un résumé de la campagne, mais décrivent les Calédoniens cédant du territoire à Rome comme résultat. Dion Cassius rapporte cependant que les Calédoniens ont infligé 50 000 victimes romaines en utilisant des tactiques non conventionnelles telles que la guérilla. Le Dr Colin Martin a suggéré que les campagnes de Severa ne recherchaient pas une bataille, mais cherchaient plutôt à détruire les terres agricoles fertiles de l'Est de l'Écosse et ainsi provoquer le génocide des Calédoniens par la famine. En 210 cependant, les Calédoniens avaient reformé leur alliance avec les Maeatae et suivirent leur nouvelle offensive. Une expédition punitive dirigée par Caracalla, le fils de Severe, a été envoyée dans le but de massacrer toutes les personnes rencontrées dans l'une des tribus du nord. Severe se prépara quant à lui à une conquête totale mais étant déjà malade; il mourut à Eboracum (aujourd'hui York) en Britannia en 211. Caracalla tenta de prendre le commandement mais quand ses troupes refusèrent de le reconnaître comme empereur, il fit la paix avec les Calédoniens et se retira au sud du mur d'Hadrien pour faire valoir sa revendication pour le Titre Impérial. Sheppard Frere suggère que Caracalla a brièvement poursuivi la campagne après la mort de son père plutôt que de partir immédiatement, invoquant un retard apparent dans son arrivée à Rome et des facteurs numismatiques et épigraphiques indirects qui suggèrent qu'il a peut-être au contraire complètement conclu la guerre, mais que l'hostilité de Dion à son sujet l'a amené à minimiser le succès de la campagne. Malcolm Todd considère cependant qu'il n'y a aucune preuve à l'appui. Quoi qu'il en soit, au final, les Calédoniens ont repris leur territoire et ont repoussé les Romains vers le mur d'Hadrien. En tout état de cause, il n'y a plus de mention historique des Calédoniens pendant un siècle à l'exception d'une inscription en 230 après JC à Colchester qui enregistre une dédicace par un homme se faisant appeler le neveu (ou petit-fils) de "Vepogenus, le Calédonien". Il est donc possible que les campagnes de Severe aient eu un tel succès que les Calédoniens ont été anéantis, mais cela est hautement improbable. En 305, Constance Chlorus a ré-envahi les terres du nord de la Grande-Bretagne bien que les sources soient vagues sur sa pénétration dans l'extrême nord et une grande victoire sur des "Caledones et autres" (Panegyrici Latini Vetares) . L'événement est remarquable en ce qu'il inclut la première utilisation enregistrée du terme «Picte» pour décrire les tribus de la région. Bien que les sources ne soient pas très claires pour la période, nous avons laissé à ceux qui possèdent déjà les figurines de guerriers nus de les conserver, par analogie avec les pratiques des celtes plus anciens et d'autres régions. Les atecotti auraient été des descendants de populations pré-Indo Européennes reliques, habitant des zones reculées. Ils étaient redoutés tant par les romains qui les pensaient cannibales que par les Britons, tout effrayants qu'ils soient, ils n'ont pas changé le sort des batailles aussi en avons nous limité le nombre. La défaite de Mons Graupius fait penser à un catalogue d'erreurs de débutants commises par le général Calédonien. S'installant au sommet d'une colline, les Calédoniens laissèrent leurs chars de guerre se battre seul et se faire engluer par les romains, puis tinrent leur positions de manière statique en lançant leurs javelots de trop loin. Vous savez comment NE PAS JOUER cette armée, qu'on a vu, sur les tables, obtenir de meilleurs résultats avec des joueurs plus imaginatifs, et agressifs. Liste de Troupes Disponibles.
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