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CLASH ! L'autre Jeu d'Histoire
- Les Armées Antiques et Médiévales
des Îles Britanniques -
Armée 381 : Ecossais médiévaux (1124 à 1512 ap JC)
Edgar meurt en 1107 et le troisième
fils de Marguerite prend le pouvoir sous le nom d’Alexandre Ier. Il succombe en 1124 et David Ier, le quatrième
et dernier fils de Marguerite, devient roi. Durant le règne de David, l’usage du scots (connu à l’époque
sous le nom d’Inglis) se répand au sud-est de l’Écosse, même si le gaélique écossais
continue à être parlé dans de nombreuses contrées de ce qui devient les Lowlands pour
plusieurs siècles.
Les avancées culturelles et politiques introduites par les Normands en Angleterre ont beaucoup impressionné
David, qui réussit à ce que certains notables le rejoignent pour prendre place dans l’aristocratie
écossaise. Les Normands ont militarisé une partie de l’Écosse, en construisant notamment de
solides châteaux-forts, et ont imposé la féodalité à la paysannerie. Ils rentrent
fréquemment en conflit avec les nobles indigènes, en particulier dans le sud-ouest et le nord-est
du pays. Comme ses successeurs, David crée des villes autonomes ou burghs qui furent colonisées par
des Normands, des marchands flamands ou des Anglais.
En réponse à l’invitation de nobles, David reçoit des terres au sud de la frontière
des rois anglais. Cela signifie que le roi d’Écosse était également comte d’Huntingdon, et
les comtes devaient financer des cérémonies pour les rois anglais en récompense des terres
qu’ils recevaient. Ceci se révèle problématique, car Malcolm III en tant que roi d’Écosse
avait déjà rançonné les rois normands d’Angleterre deux fois après ses défaites
dans diverses campagnes militaires quand il cherchait à faire accéder au trône son beau-frère
Edgar Atheling. Les Anglais ont considéré que cela signifiait la subordination de l’Écosse
à l’Angleterre.
David récusa cette assertion, mais le roi Henri II Plantagenêt vainquit son petit-fils, Guillaume
Ier le Lion et le déporta en Normandie dont il était le duc. Là, Guillaume reconnut la féodalité
de l’Écosse en 1174, en tant que roi et non en tant que comte. Pour la première fois, l’Écosse
devenait formellement unie à l’Angleterre. Ce serment fut annulé en 1189, quand Richard Cœur-de-Lion
accepta un paiement de Guillaume afin de financer sa croisade au Proche-Orient ; la soumission des rois d’Écosse
dura cependant un peu après ceci.
En 1263, l’Écosse et la Norvège s’opposèrent à la bataille de Largs pour le contrôle
des Hébrides. La victoire fut écossaise et trois ans plus tard le roi Magnus VI signa le traité
de Perth qui reconnut la suzeraineté de l’Écosse sur cet archipel. Néanmoins, en dépit
de ce traité, l’indépendance du Lord des Îles perdura.
Une série de morts dans la ligne de succession du roi dans les années 1280 mirent la Couronne écossaise
sous tension quand Alexandre III mourut d’une chute de cheval en 1286. Sa petite fille Marguerite Ire devint alors
reine d’Écosse à l’âge de quatre ans. Édouard Ier d’Angleterre, grand-oncle de Marguerite,
suggéra qu'elle épouse son fils, également enfant, pour stabiliser la ligne de succession.
Les protecteurs de Marguerite acceptèrent la chose, mais la mort de l’enfant en 1290 dans les Orcades lors
de son voyage de Norvège vers l’Écosse avant son couronnement ou son mariage compromit la situation.
La mort de Marguerite laisse le trône d’Écosse sans successeur clairement désigné.
Édouard devient l’arbitre des différents prétendants, en établissant que chacun d’entre
eux doit le reconnaître comme suzerain. Compte tenu du grand nombre de prétendants, il n'est pas difficile
d'en trouver un qui accepte cette condition. Édouard choisit Jean Baliol, qui devient roi le 17 novembre
1292.
Jean essaie rapidement de mettre un terme à cet arrangement, principalement parce qu’Édouard insiste
sur son statut de suzerain. En 1295, Jean renonce officiellement à cette allégeance et scelle une
alliance avec la France, fondant ainsi l'Auld Alliance, la vieille alliance, aux dépens de l’Angleterre.
Édouard envahit l’Écosse en 1296, force Jean à le suivre et prend le contrôle intégral
de l’Écosse. En l’absence du roi, William Wallace et Andrew de Moray soulèvent respectivement l’Écosse
du sud et du nord, et sont élus Gardiens de l’Écosse par la noblesse. Sous leur commandement commun,
l’armée anglaise est battue à la bataille de Stirling Bridge. Andrew de Moray meurt de ses blessures
deux mois plus tard, et William Wallace règne sur l’Écosse au nom de Jean Baliol.
Les représailles voulues par Édouard mènent en 1298 à la bataille de Falkirk où
Wallace est vaincu. Il parvient à s’échapper mais renonce au titre de Gardien de l’Écosse.
John Comyn le Jeune et Robert Bruce sont désignés comme ses successeurs, le second étant le
petit-fils d’un prétendant au trône en 1292. En 1304, les troupes anglaises forcent la noblesse écossaise
à verser un tribut à Édouard, mais des accords secrets sont conclus par Robert afin de continuer
la lutte. Wallace est trahi et tombe dans les mains des Anglais qui l’exécutent pour trahison, sans jamais
parvenir à lui faire jurer allégeance à l’Angleterre.
À partir de là, les Écossais regagnent et renforcent leur indépendance vis-à-vis
de l’Angleterre dans les deux premières décennies du XIVe siècle. Robert croit que John Comyn
a rompu le pacte conclu entre eux deux, et participe à son meurtre lors d’une de leurs rencontres dans une
église de Dumfries en 1306. Robert est par la suite couronné roi en 1307, mais les forces d’Édouard
reprennent le contrôle du pays après leur victoire sur la petite armée écossaise à
la bataille de Methven. En dépit de l’excommunication de Robert et de ses suivants par le pape Clément
V, celui-ci gagne de plus en plus de soutien, et avec l’aide de nobles comme James Douglas ou Thomas Randolph,
le comte de Moray, seuls les châteaux de Bothwell et de Stirling restent sous contrôle anglais. Édouard
Ier meurt en 1307, et son fils Édouard II envoie une armée au nord, afin de lever le siège
du château de Stirling et de reprendre le contrôle de la région. Robert défait cette
armée à la bataille de Bannockburn en 1314, sécurisant de fait l’indépendance de l’Écosse.
En 1320, une protestation des nobles écossais envers le pape, la déclaration d’Arbroath, convainc
le pape Jean XXII de révoquer l’excommunication et d’annuler les divers traités de soumission de
rois écossais envers des rois anglais, afin que la souveraineté écossaise puisse être
reconnue par les principales puissances européennes.
En 1326, le premier réel parlement écossais se rassemble. Ce parlement provient d’un conseil du clergé
et de la noblesse, le colloquium, constitué autour de 1235, renforcé par des représentants
des burghs, afin de représenter les trois ordres.
En 1328, Édouard III ratifie le traité de Northampton, reconnaissant ainsi l’indépendance
de l’Écosse sous le règne de Robert Ier. Cependant, un an plus tard, après la mort de ce dernier,
l’Angleterre envahit une fois encore l’Écosse dans le but d’y restaurer un roi qui leur est soumis, en la
personne d’Édouard Baliol, le fils de Jean Baliol, ce qui déclenche la seconde guerre d’indépendance
de l’Écosse. En l’absence de bon stratège militaire, comme William Wallace ou Robert Bruce, l’Écosse
demeure sous contrôle anglais pendant plus de trente ans. Elle ne regagne son indépendance que sous
David II, après la mort d’Édouard Baliol, principalement parce que l’attention d’Édouard III
se tourne vers la France contre laquelle l’Angleterre entame la guerre de Cent Ans.
Après la mort de David, Robert II, le premier de la lignée royale des Stewart (puis des Stuarts),
monte sur le trône en 1371. Il est suivi en 1390 par son fils John, le roi Robert III, qui prend Robert comme
nom de règne afin de ne pas réveiller la haine due à Jean Baliol. Durant son règne
(1390–1406), le pouvoir réside principalement entre les mains de son frère, également nommé
Robert, le duc d’Albany.
Cependant, la rivalité avec l’Angleterre persiste. Après la mort suspecte en 1402 de son fils aîné,
David, duc de Rothesay, peut-être sur les ordres du duc d’Albany, Robert III envoie James, le futur Jacques
Ier, en France par mesure de sécurité (1406). Jacques est cependant capturé par les Anglais
et passe ses 18 années suivantes en prison dans l'attente d'une rançon. Après la mort de Robert
III, la régence est assurée en premier lieu par le duc d’Albany, puis à sa mort par son fils.
Quand l’Écosse paie la rançon en 1424, Jacques revient, âgé de 32 ans, accompagné
de sa femme anglaise. Déterminé à restaurer l’ordre et la justice dans son pays, il met en
place des mesures militaires, réforme la cour et le système parlementaire, et fait tuer quiconque
menace son autorité, y compris son cousin duc d’Albany. Il en résulte que le roi d’Écosse
détient bien plus de pouvoir que n’importe quel autre avant lui, mais augmente son impopularité,
si bien que Jacques Ier meurt assassiné en 1437. Son fils Jacques II, qui règne de 1437 à
1460, prend le pouvoir une fois âgé de 18 ans, en 1449, et continue la politique paternelle d’affaiblissement
des familles nobles, notamment des Douglas, très influentes à l’époque de Robert Bruce.
La renommée intellectuelle de l’Écosse s’accroît de manière significative au XVe siècle
avec la création des universités de Saint Andrews, de Glasgow et d’Aberdeen, respectivement en 1413,
1450 et 1494, ainsi que la promulgation de l’Education Act en 1496.
En 1468, la dernière extension du territoire écossais a lieu quand Jacques III épouse Marguerite
de Danemark, recevant les Orcades et les Shetland pour dot. Après la mort de celui-ci, assassiné
en 1488, son successeur Jacques IV réussit finalement à mettre un terme à la quasi-indépendance
du Lord des Îles, amenant ainsi l’intégralité des Hébrides sous contrôle royal
pour la première fois. En 1503, il épouse la fille de Henri VII d'Angleterre, Marguerite Tudor, établissant
ainsi les bases de l’union des Couronnes d’Angleterre et d’Écosse. Le règne de Jacques IV est généralement
considéré comme une période de développement culturel ; c’est d’ailleurs à cette
époque que l’Écosse s’ancre à la Renaissance européenne. Jacques IV est le dernier
roi écossais connu sachant parler le gaélique écossais, bien que selon certains son fils en
ait également été capable.
En 1512, dans un traité étendant les attributions de l’Auld Alliance, tous les ressortissants de
l’Écosse deviennent également ressortissants français, et vice versa.
|
Troupes Disponibles
Nom
|
Min
|
Max
|
Description en Français
|
English Description
|
Chevaliers Normands d'Ecosse
|
8
|
24
|
Cavalerie, Lourds, Bouclier, ,, Lance médiévale,
|
Cavalry, Heavy, Shield, ,, Heavy Lance,
|
Yeomen écossais
|
100
|
450
|
Infanterie Ordre serré, Bouclier, ,, Lance longue,
|
Close order Infantry, Shield, ,, Long Spear,
|
passer en infanterie montée
|
0
|
200
|
Infanterie montée Ordre serré, ,, Non armé,
|
Close order Mounted Infantry, ,, Unarmed,
|
donner trompe écossaise
|
0
|
450
|
+Trompes écossaises
|
+ Scottish Horns
|
Ettrick
|
0
|
24
|
Infanterie Ordre dispersé, Arc, Dague,
|
Open order Infantry, Bow, Knife,
|
Ribaulds
|
0
|
15
|
Infanterie , Bouclier, Javelots, Arme de poing,
|
Order Infantry, Shield, Javelin, Side arm,
|
option en Grande-Bretagne en 1250
|
Archers montés
|
0
|
0
|
Infanterie montée , Lourds, Arc, Arme de poing,
|
Order Mounted Infantry, Heavy, Bow, Side arm,
|
option allié Galwegien (en GB après 1250)
|
Général
|
1
|
1
|
Infanterie , Javelots, Spécialiste AdP,
|
Order Infantry, Javelin, swordsman,
|
Galwegiens
|
18
|
48
|
Infanterie , Javelots, Spécialiste AdP,
|
Order Infantry, Javelin, swordsman,
|
passer la 1/2 des Galwegiens en fanatiques
|
0
|
24
|
Non défini, ,, Non armé, Fanatiques
|
Undefined, ,, Unarmed, Fanatics
|
passer en infanterie montée
|
0
|
24
|
Infanterie montée , ,, Non armé,
|
Order Mounted Infantry, ,, Unarmed,
|
option après 1250
|
reclasser obligatoirement tous les Chevaliers
|
8
|
24
|
Cavalerie, Très lourds, Bouclier, ,, Lance médiévale
+Masse, Hésitants
|
Cavalry, Very Heavy, Shield, ,, Heavy Lance + Mace, Wavering
|
reclasser des Chevaliers NH en NE
|
0
|
8
|
Cavalerie, Très lourds, Bouclier, ,, Lance médiévale +Masse,
Enthousiastes
|
Cavalry, Very Heavy, Shield, ,, Heavy Lance + Mace, Enthousiasts
|
option après 1456
|
Bombardes
|
0
|
16
|
Servant d'artillerie à pied , Bombarde, Arme de poing,
|
Foot Artilery crew, Bombard, Side arm,
|
monter Bombardes sur Chariots « Cartis of Weire »
|
0
|
8
|
Artillerie sur Chariot , Très lourds, ,, Non armé,
|
Wagon with Artillery, Very Heavy, ,, Unarmed,
|
Caracétristiques en Clash
Troupes
|
Min
|
Max
|
Type
|
Ord
|
Cui
|
Bou
|
Vies
|
Act
|
Red
|
Piv
|
Ent
|
Mor
|
Arme de Tir
|
Port
|
Fact
|
T/Tour
|
T/Fig
|
Notes Tir
|
Arme de mêlée
|
Fac
|
RS
|
C/Fig
|
Notes C&C
|
Spécial
|
Chevaliers Normands d'Ecosse |
8
|
24
|
MCM
|
OM
|
1
|
1
|
1
|
4
|
4
|
2
|
N
|
M
|
Non Tireur
|
0
|
0
|
0
|
0
|
-
|
Lance médiévale
|
2 et 5
|
0
|
1
|
2 au 1er tour combat si attaque, 5 ensuite
|
/ /
|
Yeomen écossais |
100
|
450
|
IPS
|
OS
|
0
|
1
|
1
|
2
|
3
|
3
|
N
|
M
|
Non Tireur
|
0
|
0
|
0
|
0
|
-
|
Lance longue
|
5
|
2
|
1
|
-
|
/ /
|
passer en infanterie montée |
0
|
200
|
ICS
|
OS
|
0
|
0
|
1
|
3
|
3
|
3
|
N
|
M
|
Non Tireur
|
0
|
0
|
0
|
0
|
-
|
Non armé
|
0
|
0
|
1
|
-
|
/ /
|
donner trompe écossaise |
0
|
450
|
-
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
6
|
N
|
M
|
Non Tireur
|
0
|
0
|
0
|
0
|
-
|
Non armé
|
0
|
0
|
1
|
-
|
/ */ Trompes écossaises
|
Ettrick |
0
|
24
|
IPD
|
OD
|
0
|
0
|
1
|
3
|
4
|
2
|
N
|
M
|
Arc
|
4
|
5
|
2
|
1
|
-
|
Dague
|
6
|
0
|
1
|
-
|
/ /
|
Ribaulds |
0
|
15
|
IPM
|
OM
|
0
|
1
|
1
|
2
|
3
|
3
|
N
|
M
|
Javelots
|
2
|
4
|
2
|
1
|
-
|
Arme de poing
|
5
|
0
|
1
|
-
|
/ /
|
option en Grande-Bretagne en 1250 |
Archers montés |
0
|
0
|
ICM
|
OM
|
1
|
0
|
1
|
3
|
3
|
3
|
N
|
M
|
Arc
|
4
|
5
|
2
|
1
|
-
|
Arme de poing
|
5
|
0
|
1
|
-
|
/ /
|
option allié Galwegien (en GB après 1250) |
Général |
1
|
1
|
IPM
|
OM
|
0
|
0
|
1
|
2
|
3
|
3
|
N
|
M
|
Javelots
|
2
|
4
|
2
|
1
|
-
|
Spécialiste AdP
|
4
|
0
|
1
|
-
|
/ /
|
Galwegiens |
18
|
48
|
IPM
|
OM
|
0
|
0
|
1
|
2
|
3
|
3
|
N
|
M
|
Javelots
|
2
|
4
|
2
|
1
|
-
|
Spécialiste AdP
|
4
|
0
|
1
|
-
|
/ /
|
passer la 1/2 des Galwegiens en fanatiques |
0
|
24
|
-
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
6
|
N
|
F
|
Non Tireur
|
0
|
0
|
0
|
0
|
-
|
Non armé
|
0
|
0
|
1
|
-
|
/ /
|
passer en infanterie montée |
0
|
24
|
ICM
|
OM
|
0
|
0
|
1
|
3
|
3
|
3
|
N
|
M
|
Non Tireur
|
0
|
0
|
0
|
0
|
-
|
Non armé
|
0
|
0
|
1
|
-
|
/ /
|
option après 1250 |
reclasser obligatoirement tous les Chevaliers |
8
|
24
|
MCM
|
OM
|
2
|
1
|
1
|
3
|
3
|
3
|
N
|
H
|
Non Tireur
|
0
|
0
|
0
|
0
|
-
|
Lance médiévale +Masse
|
2 et 4
|
0
|
1
|
2 au 1er tour combat si attaque, 4 ensuite
|
/ /
|
reclasser des Chevaliers NH en NE |
0
|
8
|
MCM
|
OM
|
2
|
1
|
1
|
3
|
3
|
3
|
N
|
E
|
Non Tireur
|
0
|
0
|
0
|
0
|
-
|
Lance médiévale +Masse
|
2 et 4
|
0
|
1
|
2 au 1er tour combat si attaque, 4 ensuite
|
/ /
|
option après 1456 |
Bombardes |
0
|
16
|
SAP
|
OM
|
0
|
0
|
1
|
2
|
1
|
5
|
N
|
M
|
Bombarde
|
6
|
4
|
1
|
1
|
Ignore armure
|
Arme de poing
|
5
|
0
|
1
|
-
|
/ /
|
monter Bombardes sur Chariots « Cartis of Weire » |
0
|
8
|
VW2
|
OM
|
2
|
0
|
5
|
2
|
1
|
5
|
N
|
M
|
Non Tireur
|
0
|
0
|
0
|
0
|
-
|
Non armé
|
0
|
0
|
1
|
-
|
/ Porte 2 artilleurs/
|
/*/ A Bannockburn, les "Hérissons" Ecossais ont été équipés de trompes
qui, sonnées toutes ensembles par près d'un millier de soldats, ont eu un grand effet sur l'ennemi.
Pour rendre cela, les trompes doivent être sonnées par des troupes (unité entières)
qui ne sont pas encore en mêlée, dans le même tour de jeu que le combat au corps à corps
(donc soit, en attaque, avant de venir au contact, soit, en défense, en utilisant une action de réaction).
Toute l'infanterie non Ecossaise, dont une figurine se trouve à moins de deux mesures de l'unité
qui sonne le cor reçoit 1 malus de 1 au dé pour le combat qui suit.
Les minima sont donnés pour des armées d'environ 1000 points, permettant
de longues parties d'une soirée entière. Pour des parties plus courtes, n'hésitez pas à
les diviser.
|